Abidjan - Le gouvernement ivoirien, par le truchement du ministre de la Fonction publique et de la Modernisation de l’administration, Kouakou Pascal Abinan, a entamé mardi des discussions avec les syndicats membres de la Plateforme nationale des organisations professionnelles du secteur public de Côte d’Ivoire, qui projettent un arrêt de travail de 72 heures du 08 au 10 novembre.
« Les portes du ministère sont ouvertes, nous continuons la discussion. Le fait même de parler du problème, même si les résultats ne sont pas attendus ne sont pas immédiats, ça veut dire que le gouvernement est conscient de l’existence de ce problème, et cherche des solutions », a déclaré M. Abidjan au terme de ce premier jour de discussions à son cabinet au Plateau (Abidjan.
Ces syndicats réclament, entre autres, « le retrait ou à défaut la révision de l’ordonnance 2012-303 du 4 avril 2012 portant réforme des pensions de retraite gérées par la caisse générale de retraite des agents de l’Etat (CGRAE), le paiement effectif et intégral du stock des arriérés dus aux effets financiers des mesures de revalorisation depuis 2009, l’intégration des agents journaliers du secteur public à la fonction publique », rappelle-t-on.
« Aucun gouvernement ne peut mépriser ses propres fonctionnaires et agents de l’Etat. Tous les problèmes qui ont été posés seront discutés. On aura encore d’autres discussions. Il n’y a pas de problème sans solution, et c’est dans la discussion et dans la convivialité qu’on trouvera des solutions, et non dans les bras de fer », a assuré le ministre de la Fonction public.
Le président de la Plateforme nationale des organisations professionnelles du secteur public de Côte d’Ivoire, Gnagna Zadi Théodore, a pour sa part salué ce début de discussions entre les deux parties.
« C’était une rencontre de prise de contact. Je pense que nous allons continuer les discussions. Nous aussi, on est ouvert à la discussion », a-t-il dit.
Cette plateforme est une faîtière revendiquant cinquante syndicats issus de « tous les emplois de la fonction publique ».
tm
« Les portes du ministère sont ouvertes, nous continuons la discussion. Le fait même de parler du problème, même si les résultats ne sont pas attendus ne sont pas immédiats, ça veut dire que le gouvernement est conscient de l’existence de ce problème, et cherche des solutions », a déclaré M. Abidjan au terme de ce premier jour de discussions à son cabinet au Plateau (Abidjan.
Ces syndicats réclament, entre autres, « le retrait ou à défaut la révision de l’ordonnance 2012-303 du 4 avril 2012 portant réforme des pensions de retraite gérées par la caisse générale de retraite des agents de l’Etat (CGRAE), le paiement effectif et intégral du stock des arriérés dus aux effets financiers des mesures de revalorisation depuis 2009, l’intégration des agents journaliers du secteur public à la fonction publique », rappelle-t-on.
« Aucun gouvernement ne peut mépriser ses propres fonctionnaires et agents de l’Etat. Tous les problèmes qui ont été posés seront discutés. On aura encore d’autres discussions. Il n’y a pas de problème sans solution, et c’est dans la discussion et dans la convivialité qu’on trouvera des solutions, et non dans les bras de fer », a assuré le ministre de la Fonction public.
Le président de la Plateforme nationale des organisations professionnelles du secteur public de Côte d’Ivoire, Gnagna Zadi Théodore, a pour sa part salué ce début de discussions entre les deux parties.
« C’était une rencontre de prise de contact. Je pense que nous allons continuer les discussions. Nous aussi, on est ouvert à la discussion », a-t-il dit.
Cette plateforme est une faîtière revendiquant cinquante syndicats issus de « tous les emplois de la fonction publique ».
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