Abidjan (Côte d’Ivoire) - Les acteurs mondiaux de la filière cacao sont réunis depuis, mercredi, à Abidjan dans le cadre de la 28è réunion de partenariat de la Fondation Mondiale du Cacao, a constaté APA sur place d’Abidjan net.
Près de 500 représentants au niveau mondial du secteur du chocolat et du cacao, y compris des producteurs prennent part à cette rencontre en Côte d’Ivoire, premier producteur mondial de cacao.
Il s’agira d’aborder pendant deux jours, les questions essentielles de durabilité auxquelles sont confrontées la culture, qui est la principale source de revenus pour des millions de personnes en Afrique de l’Ouest et dans une grande partie de l’Amérique latine et de l’Asie du Sud-Est.
La Réunion de Partenariat et le salon de la Durabilité du Cacao, centré sur le thème « Population, Planète et Economie Cacaoyère dans un monde en mutation » est organisée conjointement par la Fondation Mondiale du Cacao (World Cocoa Foundation : WCF) et l’Agence de Régulation du secteur Cacao en Côte d’Ivoire, le Conseil du Café-Cacao.
Soulignant l’urgence de ces questions, la WCF et l’initiative Feed the Future du Gouvernement Américain ont procédé au lancement de la deuxième phase de l’Initiative Cacaoyère en Afrique. Cet effort de 12 millions de dollars sur cinq ans augmentera la production de matériel de plantation de bonne qualité du cacao permettra de fournir des services financiers aux producteurs de cacao au Cameroun, en Côte d’Ivoire, au Ghana et au Nigéria.
Le programme est une initiative conjointe pour appuyer la mise en œuvre de la stratégie Cocoa Action de la Fondation Mondiale du Cacao qui œuvre à la durabilité du cacao en rassemblant le secteur public et privé.
Selon Barry Parking, Président de la WCF, la conférence d’Abidjan a pour but de répondre à la fois aux défis persistants et aux préoccupations émergentes pour le secteur cacao. Il a mentionné que «nous approfondissons notre attention sur les éléments clés de l’agenda du développement durable’’.
‘’Veiller à ce que la cacaoculture constitue un moyen de subsistance durable pour les agriculteurs, en offrant aux jeunes des occasions significatives dans le secteur du cacao et l’autonomisation des femmes qui travaillent dans le cacao ont longtemps été des priorités pour la WCF, mais nous savons qu’il reste encore beaucoup à faire’’, a-t-il indiqué.
‘’D’autres préoccupations telles que le financement de la réhabilitation des parcelles, la lutte contre la déforestation, et le renforcement de la responsabilisation et la transparence, démontrent notre engagement pour faire face à de nouvelles menaces et explorer de nouvelles opportunités’’, a poursuivi, Barry Parking.
Dans son discours d’ouverture, le Premier ministre ivoirien Daniel Kablan Duncan, a présenté une série de mesures que le pays hôte prend pour encourager le développement de son industrie du cacao, y compris un plan ambitieux pour traiter localement 50 pour cent de la récolte locale de cacao d’ici 2020 et soutenir la production du chocolat au niveau national.
Quant à la Directrice générale du Conseil café cacao, Mme Touré-Litse qui a fait ressortir les attentes du Conseil du Café Cacao sur la Réunion ‘’Nous sommes particulièrement heureux que l’édition 2016 de la réunion de partenariat de la Fondation Mondiale du Cacao ; la 8è du genre se tienne en Côte d’Ivoire, Terre du Cacao’’, a déclaré Mme Touré-Litsé qui dit attendre avec beaucoup d’intérêt, les réponses aux problématiques posées’’.
Il d’agit notamment de la cacaoculture face au changement climatique et la déforestation. Il y a notamment de l’autonomisation des femmes pour contribuer à la durabilité du secteur, la promotion d’une nouvelle génération de producteurs pour assurer la relève des pionniers.
L’amélioration du revenu tiré de la production de cacao, gage de maintien de la force de travail dans les zones de production, et l’amélioration des conditions de vie et de travail des communautés de producteurs.
La réunion de partenariat abordera par ailleurs, un large éventail de sujets, y compris la durabilité, l’inclusion financière des femmes, la déforestation, l’engagement d’une nouvelle génération de producteurs de cacao, les tendances futures dans les sciences liées au cacao, la fourniture du financement nécessaire et adéquat aux producteurs pour réhabiliter et renouveler leurs parcelles et plus encore.
Près de 500 représentants au niveau mondial du secteur du chocolat et du cacao, y compris des producteurs prennent part à cette rencontre en Côte d’Ivoire, premier producteur mondial de cacao.
Il s’agira d’aborder pendant deux jours, les questions essentielles de durabilité auxquelles sont confrontées la culture, qui est la principale source de revenus pour des millions de personnes en Afrique de l’Ouest et dans une grande partie de l’Amérique latine et de l’Asie du Sud-Est.
La Réunion de Partenariat et le salon de la Durabilité du Cacao, centré sur le thème « Population, Planète et Economie Cacaoyère dans un monde en mutation » est organisée conjointement par la Fondation Mondiale du Cacao (World Cocoa Foundation : WCF) et l’Agence de Régulation du secteur Cacao en Côte d’Ivoire, le Conseil du Café-Cacao.
Soulignant l’urgence de ces questions, la WCF et l’initiative Feed the Future du Gouvernement Américain ont procédé au lancement de la deuxième phase de l’Initiative Cacaoyère en Afrique. Cet effort de 12 millions de dollars sur cinq ans augmentera la production de matériel de plantation de bonne qualité du cacao permettra de fournir des services financiers aux producteurs de cacao au Cameroun, en Côte d’Ivoire, au Ghana et au Nigéria.
Le programme est une initiative conjointe pour appuyer la mise en œuvre de la stratégie Cocoa Action de la Fondation Mondiale du Cacao qui œuvre à la durabilité du cacao en rassemblant le secteur public et privé.
Selon Barry Parking, Président de la WCF, la conférence d’Abidjan a pour but de répondre à la fois aux défis persistants et aux préoccupations émergentes pour le secteur cacao. Il a mentionné que «nous approfondissons notre attention sur les éléments clés de l’agenda du développement durable’’.
‘’Veiller à ce que la cacaoculture constitue un moyen de subsistance durable pour les agriculteurs, en offrant aux jeunes des occasions significatives dans le secteur du cacao et l’autonomisation des femmes qui travaillent dans le cacao ont longtemps été des priorités pour la WCF, mais nous savons qu’il reste encore beaucoup à faire’’, a-t-il indiqué.
‘’D’autres préoccupations telles que le financement de la réhabilitation des parcelles, la lutte contre la déforestation, et le renforcement de la responsabilisation et la transparence, démontrent notre engagement pour faire face à de nouvelles menaces et explorer de nouvelles opportunités’’, a poursuivi, Barry Parking.
Dans son discours d’ouverture, le Premier ministre ivoirien Daniel Kablan Duncan, a présenté une série de mesures que le pays hôte prend pour encourager le développement de son industrie du cacao, y compris un plan ambitieux pour traiter localement 50 pour cent de la récolte locale de cacao d’ici 2020 et soutenir la production du chocolat au niveau national.
Quant à la Directrice générale du Conseil café cacao, Mme Touré-Litse qui a fait ressortir les attentes du Conseil du Café Cacao sur la Réunion ‘’Nous sommes particulièrement heureux que l’édition 2016 de la réunion de partenariat de la Fondation Mondiale du Cacao ; la 8è du genre se tienne en Côte d’Ivoire, Terre du Cacao’’, a déclaré Mme Touré-Litsé qui dit attendre avec beaucoup d’intérêt, les réponses aux problématiques posées’’.
Il d’agit notamment de la cacaoculture face au changement climatique et la déforestation. Il y a notamment de l’autonomisation des femmes pour contribuer à la durabilité du secteur, la promotion d’une nouvelle génération de producteurs pour assurer la relève des pionniers.
L’amélioration du revenu tiré de la production de cacao, gage de maintien de la force de travail dans les zones de production, et l’amélioration des conditions de vie et de travail des communautés de producteurs.
La réunion de partenariat abordera par ailleurs, un large éventail de sujets, y compris la durabilité, l’inclusion financière des femmes, la déforestation, l’engagement d’une nouvelle génération de producteurs de cacao, les tendances futures dans les sciences liées au cacao, la fourniture du financement nécessaire et adéquat aux producteurs pour réhabiliter et renouveler leurs parcelles et plus encore.