Après le stade Félix Houphouët Boigny d’Abidjan samedi dernier, Alassane Ouattara, initiateur du projet de constitution pour une 3ème République a animé ce jeudi au stade de la paix de Bouaké, le meeting de clôture en faveur du « OUI Massif » lors du référendum du 30 octobre prochain.
D ‘entrée Alassane Ouattara est revenu sur les évènements survenus dans la ville de Bouaké au mois de juillet dernier, au cours duquel de nombreux édifices privés et biens publics ont été détruits en signe de protestation contre l’augmentation du cours de l’électricité. « J’ai été peiné par les événements qui ont secoué Bouaké en Juillet dernier. Cela est impardonnable. Je ne veux plus de désordre à Bouaké », a mis en garde Alassane Ouattara.
Concernant la Constitution, objet du meeting du jour, Alassane Ouattara a expliqué que cette constitution « garantira la paix à la Côte d’Ivoire de génération en génération ». Précisant qu’elle est « la fondation de la paix et la stabilité de la Côte d’Ivoire ». Selon le président de la République, elle va renforcer l’unité nationale, la réconciliation. Avec cette Constitution, a indiqué Alassane Ouattara, « tous les Ivoiriens sont égaux devant la loi ».
Au nombre des acquis importants de cette constitution figure le foncier rural. « La terre appartient à l’Ivoirien rien qu’à l’Ivoirien. Nous allons mettre en place une agence pour le foncier rural », a annoncé le président de la République. Poursuivant son discours, il a affirmé que « cette constitution protège le citoyen de toute décision arbitraire ».
Alassane Ouattara a appelé à des élections apaisées dans le respect des opinions des uns et des autres. Sur l’opportunité d’une constitution maintenant, Alassane Ouattara a indiqué que « c’est pour préparer 2020 et éviter que surviennent des crises avec des élections claires et limpides ».
Invité à prendre la parole pour souhaiter la bienvenue au Chef de l’Etat, Le président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro a déclaré que « l’avènement de la 3ème République est une chance pour la Côte d’Ivoire ». Aux détracteurs de la nouvelle constitution, il a répondu « qu’aucune œuvre humaine n’est parfaite ». « Pour les générations futures, elles pourront modifier cette constitution si elles le veulent », a-t-il ajouté. « Cette constitution doit être le bréviaire de toute la Côte d’Ivoire », a conclu le président de l’Assemblée nationale.
Au cas où, il est voté le 30 octobre prochain, La Constitution consacrera la troisième République.
Elisée B.
D ‘entrée Alassane Ouattara est revenu sur les évènements survenus dans la ville de Bouaké au mois de juillet dernier, au cours duquel de nombreux édifices privés et biens publics ont été détruits en signe de protestation contre l’augmentation du cours de l’électricité. « J’ai été peiné par les événements qui ont secoué Bouaké en Juillet dernier. Cela est impardonnable. Je ne veux plus de désordre à Bouaké », a mis en garde Alassane Ouattara.
Concernant la Constitution, objet du meeting du jour, Alassane Ouattara a expliqué que cette constitution « garantira la paix à la Côte d’Ivoire de génération en génération ». Précisant qu’elle est « la fondation de la paix et la stabilité de la Côte d’Ivoire ». Selon le président de la République, elle va renforcer l’unité nationale, la réconciliation. Avec cette Constitution, a indiqué Alassane Ouattara, « tous les Ivoiriens sont égaux devant la loi ».
Au nombre des acquis importants de cette constitution figure le foncier rural. « La terre appartient à l’Ivoirien rien qu’à l’Ivoirien. Nous allons mettre en place une agence pour le foncier rural », a annoncé le président de la République. Poursuivant son discours, il a affirmé que « cette constitution protège le citoyen de toute décision arbitraire ».
Alassane Ouattara a appelé à des élections apaisées dans le respect des opinions des uns et des autres. Sur l’opportunité d’une constitution maintenant, Alassane Ouattara a indiqué que « c’est pour préparer 2020 et éviter que surviennent des crises avec des élections claires et limpides ».
Invité à prendre la parole pour souhaiter la bienvenue au Chef de l’Etat, Le président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro a déclaré que « l’avènement de la 3ème République est une chance pour la Côte d’Ivoire ». Aux détracteurs de la nouvelle constitution, il a répondu « qu’aucune œuvre humaine n’est parfaite ». « Pour les générations futures, elles pourront modifier cette constitution si elles le veulent », a-t-il ajouté. « Cette constitution doit être le bréviaire de toute la Côte d’Ivoire », a conclu le président de l’Assemblée nationale.
Au cas où, il est voté le 30 octobre prochain, La Constitution consacrera la troisième République.
Elisée B.