La Banque mondiale a publié ce mardi 25 octobre son rapport Doing Business 2017. Il s’agit de la 14e édition du rapport de la banque qui évalue la facilité des affaires dans les pays africains.
Le nouveau rapport indique que le climat des affaires sur le continent africain et précisément en Afrique subsaharienne s’améliore progressivement. Le Kenya figure parmi les 10 pays à avoir entrepris le plus de reformes pour simplifier l’environnement des affaires. Quant au Niger il progresse, progresse de dix rangs dans ce nouveau classement.
Sur les 190, la Côte d’Ivoire reste à la 142e place comme dans le précédent classement. La Côte d’Ivoire a mis en œuvre au moins 4 réformes l’année dernière, à la différence de 2015 où elle n’a vu valider que 3 de ces réformes. Grosso modo, La banque se dit satisfaite de l’adoption, par les économies de l’Afrique subsaharienne l’année dernière, d’un nombre record de réformes visant à améliorer le climat des affaires pour les entrepreneurs.
Créé en 2002 par le groupe de la banque mondiale, ce classement mesure la réglementation des affaires et son application effective dans 190 économies et dans certaines villes. Les pays sont classés en fonction de la facilité d’y faire des affaires, de 1 à 190, la première place indiquant le plus haut niveau de facilité comme par exemple la création d’entreprise, l’obtention de prêts, le règlement de l’insolvabilité.
DA
Le nouveau rapport indique que le climat des affaires sur le continent africain et précisément en Afrique subsaharienne s’améliore progressivement. Le Kenya figure parmi les 10 pays à avoir entrepris le plus de reformes pour simplifier l’environnement des affaires. Quant au Niger il progresse, progresse de dix rangs dans ce nouveau classement.
Sur les 190, la Côte d’Ivoire reste à la 142e place comme dans le précédent classement. La Côte d’Ivoire a mis en œuvre au moins 4 réformes l’année dernière, à la différence de 2015 où elle n’a vu valider que 3 de ces réformes. Grosso modo, La banque se dit satisfaite de l’adoption, par les économies de l’Afrique subsaharienne l’année dernière, d’un nombre record de réformes visant à améliorer le climat des affaires pour les entrepreneurs.
Créé en 2002 par le groupe de la banque mondiale, ce classement mesure la réglementation des affaires et son application effective dans 190 économies et dans certaines villes. Les pays sont classés en fonction de la facilité d’y faire des affaires, de 1 à 190, la première place indiquant le plus haut niveau de facilité comme par exemple la création d’entreprise, l’obtention de prêts, le règlement de l’insolvabilité.
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