La Côte d’Ivoire, à l’instar des autres pays du Monde, célèbre ce mercredi 02 novembre 2016 la Journée Internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre les journalistes.
Cette Journée, faut-il le rappeler, a été Instituée en 2013 par l’Assemblée générale des Nations Unies, lors de sa 68ème session, suite à l’assassinat à Kidal au Mali, des deux journalistes français Ghislaine DUPONT et Claude VERLON.
Comme l’année passée, notre pays ne saurait rester en marge de la célébration de cette journée internationale dont le thème est « L’impunité entraîne l’impunité ».
En effet, les journalistes dans le cadre de l’accomplissement de leur mission d’information de l’opinion publique, sont souvent victimes d’arrestations arbitraires, de tortures et d’assassinats. Les auteurs de ces crimes ne font malheureusement l’objet d’aucune poursuite judiciaire dans la plupart de cas. Les statistiques dressées par l'UNESCO viennent corroborer cette triste réalité.
C’est pourquoi, la Côte d’Ivoire salue ce jour, la mémoire de toutes ces femmes et de tous ces hommes de media qui sont morts dans l’exercice de leur noble métier aussi bien en Afrique, qu’ailleurs dans le monde.
Nous n’oublions pas non plus celles et ceux qui chaque jour, un peu partout dans le monde, au péril de leur vie, tentent de collecter, de traiter et de diffuser l’information.
Depuis son accession au pouvoir en 2011, le Président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, ne ménage aucun effort pour non seulement renforcer les conditions de vie et de travail des professionnels des médias, mais également pour leur permettre d’exercer leur métier dans un environnement sécurisé.
Loin d’être donc une vue de l’esprit dans notre pays, la liberté de presse est une réalité tangible que le Gouvernement s’efforce de garantir pour le développement du secteur de l’Information et de la Communication en Côte d’Ivoire.
Je vous remercie.
Le Ministre
Cette Journée, faut-il le rappeler, a été Instituée en 2013 par l’Assemblée générale des Nations Unies, lors de sa 68ème session, suite à l’assassinat à Kidal au Mali, des deux journalistes français Ghislaine DUPONT et Claude VERLON.
Comme l’année passée, notre pays ne saurait rester en marge de la célébration de cette journée internationale dont le thème est « L’impunité entraîne l’impunité ».
En effet, les journalistes dans le cadre de l’accomplissement de leur mission d’information de l’opinion publique, sont souvent victimes d’arrestations arbitraires, de tortures et d’assassinats. Les auteurs de ces crimes ne font malheureusement l’objet d’aucune poursuite judiciaire dans la plupart de cas. Les statistiques dressées par l'UNESCO viennent corroborer cette triste réalité.
C’est pourquoi, la Côte d’Ivoire salue ce jour, la mémoire de toutes ces femmes et de tous ces hommes de media qui sont morts dans l’exercice de leur noble métier aussi bien en Afrique, qu’ailleurs dans le monde.
Nous n’oublions pas non plus celles et ceux qui chaque jour, un peu partout dans le monde, au péril de leur vie, tentent de collecter, de traiter et de diffuser l’information.
Depuis son accession au pouvoir en 2011, le Président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, ne ménage aucun effort pour non seulement renforcer les conditions de vie et de travail des professionnels des médias, mais également pour leur permettre d’exercer leur métier dans un environnement sécurisé.
Loin d’être donc une vue de l’esprit dans notre pays, la liberté de presse est une réalité tangible que le Gouvernement s’efforce de garantir pour le développement du secteur de l’Information et de la Communication en Côte d’Ivoire.
Je vous remercie.
Le Ministre