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Société Publié le vendredi 4 novembre 2016 |

Lutte contre les risques d’apatridie: Le SAARA et le HCR réfléchissent sur la situation des enfants rapatriés nés en exil

© Par DR
Lutte contre les risques d`apatridie: Le SAARA et le HCR réfléchissent sur la situation des enfants rapatriés nés en exil
Le Service d’Aide et d’Assistance aux Réfugiés et Apatrides (SAARA) du Ministère des Affaires Etrangères et le HCR organisent un atelier de réflexion sur l’établissement des actes de naissance des personnes nées en exil et non déclarées à l’état civil à Yamoussoukro du 03 au 05 novembre 2016.
Le Service d’Aide et d’Assistance aux Réfugiés et Apatrides (SAARA) du Ministère des Affaires Etrangères et le HCR organisent, à Yamoussoukro du 03 au 05 novembre 2016, un atelier de réflexion sur l’établissement des actes de naissance des personnes nées en exil et non déclarées à l’état civil. La cérémonie d’ouverture de cet atelier a été marquée par l’allocution de Monsieur Koné Drissa, Vice Gouverneur du District de Yamoussoukro qui a adressé un mot de bienvenue aux participants ; il leur a souhaité un bon séjour dans la capitale du bélier. Selon lui, ce séjour sera mis à profit pour trouver des solutions pour les enfants sans documentation. Quant au Dr. Kouamé Kouakou Lacina, Conseiller Technique du Ministre des Affaires Etrangères qui représentait S.E.M Albert Toikeusse MABRI, a commencé par situer le cadre pratique du rapatriement volontaire des réfugiés ivoiriens en passant par une description normative des difficultés rencontrées par environ 17 000 enfants rapatriés non déclarés à l’état civil dans les pays d’asile. Poursuivant, il a adressé ses sincères remerciements au HCR pour les appuis constants apportés au gouvernement (SAARA) dans le cadre de la protection internationale des réfugiés vivant en côte d’Ivoire ; du processus de rapatriement volontaire des réfugiés ivoiriens et surtout de la lutte contre l’apatridie placée sous le sceau de la ratification des conventions de 1954 et de 1961 sur l’apatridie par la Côte d’Ivoire. L’atelier se tient sur deux jours et est rehaussé par les présences remarquables des membres du secrétariat général du gouvernement, du corps préfectoral, des ministères techniques et des partenaires au développement.


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