Grand-Lahou - Yaïma Arocha Rosette de l'organisation SPOROMETRIC basée au Canada, et Innocent Boutary, responsable du projet coco en Côte d'Ivoire se sont rendus à Grand-Lahou (sud, région des Grands-ponts) en vue de s’enquérir de l’avancée du projet de lutte contre le jaunissement mortel du cocotier, exécuté par le Centre national de recherche agronomique (CNRA) et l'université Nangui Abrogoua, en collaboration avec les populations locales.
Selon le Dr Kra Kouamé, chercheur à l’université Nangui Abrogoua, des plantations dévastées par la maladie ont été trouvées sur place. Il a ajouté que l'objectif premier du projet a été de créer sept foires du coco destinées à valoriser les produits dérivés du cocotier en mettant en contact les producteurs et les éventuels acheteurs. L’organisation de 10 cliniques des plantes a permis d’identifier les maladies du cocotier et d’autres cultures, de donner des conseils aux planteurs et de faire des recherches complémentaires.
Dix champs-écoles installés dans huit villages avec un effectif de 280 apprenants dont 42 femmes, ont été créés, a indiqué le Dr Kra.
Pour sa part, le point focal régional coco à l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER), les activités s’effectuent sous la supervision de sa structure qui sert d'interface entre l'université et les producteurs.
Yéboua Nazaret a ajouté que les chercheurs de l'université Nangui Abrogoua lui ont donné les modules de formation qu’il met ensuite à la disposition des champs-écoles producteurs. "L'Université Nangui Abrogoua a mis à notre disposition trois variétés de coco que nous exploitons dans les champs-écoles", a-t-il fait savoir.
Des instructions d’abattage des cocotiers malades ont été données aux populations, en vue de rendre propres les plantations, a indiqué, de son côté, le chargé du projet coco du CRNA, le Dr Allou Kouassi, se félicitant de ce que des recommandations leur faites pour se référer au CNRA afin d'avoir de bonnes semences pour réaliser de bons rendements.
Selon le chargé du projet, les mauvaises herbes et le manque d’entretien des plantations ont contribué à l’avancée de la maladie.
pour Grah gbayoro,planteur dans le champ école à Badadon les champs écoles sont très « profitables ».
Innocent Boutary, expert concepteur du projet, et Yaïma Arocha Rosette, tous deux venus du Canada, ont exprimé leurs satisfactions par rapport à l'évolution des travaux sur le terrain, promettant de continuer à apporter leur soutien à la recherche afin de relancer la filière coco à Grand-Lahou.
Rk/akn/kp
Selon le Dr Kra Kouamé, chercheur à l’université Nangui Abrogoua, des plantations dévastées par la maladie ont été trouvées sur place. Il a ajouté que l'objectif premier du projet a été de créer sept foires du coco destinées à valoriser les produits dérivés du cocotier en mettant en contact les producteurs et les éventuels acheteurs. L’organisation de 10 cliniques des plantes a permis d’identifier les maladies du cocotier et d’autres cultures, de donner des conseils aux planteurs et de faire des recherches complémentaires.
Dix champs-écoles installés dans huit villages avec un effectif de 280 apprenants dont 42 femmes, ont été créés, a indiqué le Dr Kra.
Pour sa part, le point focal régional coco à l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER), les activités s’effectuent sous la supervision de sa structure qui sert d'interface entre l'université et les producteurs.
Yéboua Nazaret a ajouté que les chercheurs de l'université Nangui Abrogoua lui ont donné les modules de formation qu’il met ensuite à la disposition des champs-écoles producteurs. "L'Université Nangui Abrogoua a mis à notre disposition trois variétés de coco que nous exploitons dans les champs-écoles", a-t-il fait savoir.
Des instructions d’abattage des cocotiers malades ont été données aux populations, en vue de rendre propres les plantations, a indiqué, de son côté, le chargé du projet coco du CRNA, le Dr Allou Kouassi, se félicitant de ce que des recommandations leur faites pour se référer au CNRA afin d'avoir de bonnes semences pour réaliser de bons rendements.
Selon le chargé du projet, les mauvaises herbes et le manque d’entretien des plantations ont contribué à l’avancée de la maladie.
pour Grah gbayoro,planteur dans le champ école à Badadon les champs écoles sont très « profitables ».
Innocent Boutary, expert concepteur du projet, et Yaïma Arocha Rosette, tous deux venus du Canada, ont exprimé leurs satisfactions par rapport à l'évolution des travaux sur le terrain, promettant de continuer à apporter leur soutien à la recherche afin de relancer la filière coco à Grand-Lahou.
Rk/akn/kp