Bouaké - Des chefs de division et chefs de cabinet des préfectures issus de 14 régions, notamment les Grands ponts, le Sud-Comoé, le Gbêkê, le Goh, le Gemon, bénéficient, à Bouaké, d’une formation sur une matrice de gestion des conflits, une application qui retrace toutes les informations sur un conflit donné telles que la localisation du conflit, sa nature, le type et les personnes belligérantes conçue par la direction générale de l’administration du territoire.
Comme il l’a fait avec la première vague de 40 participants qui en ont bénéficié de lundi à mercredi, le directeur des ressources humaines de l’administration du territoire, Koffi Koffi Kan Innocent, le formateur, a réitéré, jeudi, au second groupe qui achèvera la formation samedi, l’importance du projet, indiquant qu’il s’agit d’un «outil d’alerte qui sera mis à la disposition du ministre de l’intérieur et de la sécurité.»
Au terme, a-t-il expliqué, cet outil lui permettra d’avoir le point de tous les conflits survenus sur l’étendue du territoire. Ceux qui ont été réglés au niveau du préfet ou du sous-préfet et même ceux qui ne le sont pas été doivent être portés à sa connaissance pour la prise de mesures nécessaires.
En principe, les préfets interviennent dans le remplissage de la matrice mais compte tenu de l’ampleur de leur charge, cette mission a été dévolue à leur collaborateurs, les chefs de division et chefs de cabinet qui été ont désignés comme points focaux des cellules de consolidation des données relatives aux conflits dans les départements et régions.
«Votre travail, en amont, permettra au gouvernement d’éviter beaucoup de situation difficile», a signifié le directeur des ressources humaines de l’administration du territoire aux participants, les exhortant à prendre en considération toutes les petites situations conflictuelles susceptibles de dégénérer.
L’atelier a été initié dans le cadre du projet de mise en œuvre des mécanismes et instruments d’analyse des conflits et gestion communautaire initié par le ministère de l’Intérieur et de la Sécurité à travers la direction générale de l’administration du territoire, en collaboration avec l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI). Le projet bénéficie de l’appui financier du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).
nbf/cmas
Comme il l’a fait avec la première vague de 40 participants qui en ont bénéficié de lundi à mercredi, le directeur des ressources humaines de l’administration du territoire, Koffi Koffi Kan Innocent, le formateur, a réitéré, jeudi, au second groupe qui achèvera la formation samedi, l’importance du projet, indiquant qu’il s’agit d’un «outil d’alerte qui sera mis à la disposition du ministre de l’intérieur et de la sécurité.»
Au terme, a-t-il expliqué, cet outil lui permettra d’avoir le point de tous les conflits survenus sur l’étendue du territoire. Ceux qui ont été réglés au niveau du préfet ou du sous-préfet et même ceux qui ne le sont pas été doivent être portés à sa connaissance pour la prise de mesures nécessaires.
En principe, les préfets interviennent dans le remplissage de la matrice mais compte tenu de l’ampleur de leur charge, cette mission a été dévolue à leur collaborateurs, les chefs de division et chefs de cabinet qui été ont désignés comme points focaux des cellules de consolidation des données relatives aux conflits dans les départements et régions.
«Votre travail, en amont, permettra au gouvernement d’éviter beaucoup de situation difficile», a signifié le directeur des ressources humaines de l’administration du territoire aux participants, les exhortant à prendre en considération toutes les petites situations conflictuelles susceptibles de dégénérer.
L’atelier a été initié dans le cadre du projet de mise en œuvre des mécanismes et instruments d’analyse des conflits et gestion communautaire initié par le ministère de l’Intérieur et de la Sécurité à travers la direction générale de l’administration du territoire, en collaboration avec l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI). Le projet bénéficie de l’appui financier du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).
nbf/cmas