Bouaké - Les chefs de cabinet et chefs de division des préfectures issus de 14 régions désignés points focaux des cellules de consolidation des données relatives aux conflits communautaire dans leurs localités ont été instruits, de lundi à samedi, à Bouaké, pour mieux accomplir leur mission qui consiste à renseigner la matrice de gestion de ces conflits, conçue par la direction générale de l’administration du territoire (DAGT).
Durant les six jours d’atelier organisé en deux étapes de trois jours, le directeur des ressources humaines de la DAGT, Koffi Koffi Kan Innocent, a fait savoir aux chefs de cabinet et chefs de division qu’en tant qu’acteurs de la chaîne des organes d’analyse, de consolidation et de traitement des données et informations, la réussite de leur mission contribuera au succès du projet de prévention et gestion des conflits dans les régions.
«Je voudrais vous engager à suivre scrupuleusement les méthodes de remplissage de la matrice qui vont été enseignées», leur a-t-il recommandé, avant de promettre le soutien de la hiérarchie pour l’accomplissement de la tâche qui leur est confiée. De ce fait, a-t-il conseillé, «là où il y a des difficultés, il ne faut pas rester les bras croisés. Il faut remonter l’information.»
M. Koffi Kan souligné que le ministère de tutelle et la Direction générale de l’administration du territoire tiennent à ce projet parce qu’à terme il va «rendre beaucoup de services», l’objectif étant de mettre en place un progiciel qui va comporter beaucoup plus d’informations que celles contenues dans la matrice des conflits.
Le projet de mise en œuvre des mécanismes et instruments d’analyse des conflits et gestion communautaire a été initié par le ministère de l’intérieur et de la sécurité à travers la direction générale de l’administration du territoire en collaboration avec l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI). Le projet bénéficie de l’appui financier du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).
nbf/tm
Durant les six jours d’atelier organisé en deux étapes de trois jours, le directeur des ressources humaines de la DAGT, Koffi Koffi Kan Innocent, a fait savoir aux chefs de cabinet et chefs de division qu’en tant qu’acteurs de la chaîne des organes d’analyse, de consolidation et de traitement des données et informations, la réussite de leur mission contribuera au succès du projet de prévention et gestion des conflits dans les régions.
«Je voudrais vous engager à suivre scrupuleusement les méthodes de remplissage de la matrice qui vont été enseignées», leur a-t-il recommandé, avant de promettre le soutien de la hiérarchie pour l’accomplissement de la tâche qui leur est confiée. De ce fait, a-t-il conseillé, «là où il y a des difficultés, il ne faut pas rester les bras croisés. Il faut remonter l’information.»
M. Koffi Kan souligné que le ministère de tutelle et la Direction générale de l’administration du territoire tiennent à ce projet parce qu’à terme il va «rendre beaucoup de services», l’objectif étant de mettre en place un progiciel qui va comporter beaucoup plus d’informations que celles contenues dans la matrice des conflits.
Le projet de mise en œuvre des mécanismes et instruments d’analyse des conflits et gestion communautaire a été initié par le ministère de l’intérieur et de la sécurité à travers la direction générale de l’administration du territoire en collaboration avec l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI). Le projet bénéficie de l’appui financier du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).
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