Grand-Bassam - La Côte d’Ivoire passe de 478 cas de violences sexuelles imputées aux forces de sécurité et de défense ainsi qu’aux groupes armés, à un seul cas de tentative de viol, a annoncé mardi la ministre de la Promotion de la Femme, de la Famille et de la Protection de l'Enfant, Euphrasie Yao, à l’ouverture de la conférence internationale portant sur « L’élaboration d’un guide sur la lutte contre les violences sexuelles liées aux conflits en Afrique ».
« Je suis heureuse d’affirmer que les résultats du bilan des violences sexuelles sont plus que satisfaisants », a affirmé la ministre. Euphrasie Yao a expliqué que la Côte d’Ivoire a pu faire d’énormes progrès en moins de cinq ans grâce aux soutiens de tous les partenaires nationaux et internationaux sous l’impulsion du Président de la République, Alassane Ouattara, en sa qualité de chef suprême des armées.
« La Côte d’Ivoire a enregistré des avancées significatives en matière de prévention et de réponse à la problématique des violences sexuelles au sein de ses formes armées, et particulièrement en ce qui concerne la lutte contre toutes les formes de violences sexuelles liées aux conflits », s’est félicité le commandant des forces de l’Opération Onusienne en Côte d’Ivoire, le général Didier L'Hote. "Les Nations Unies continueront de travailler à renforcer certains domaines de compétences de leurs homologues militaires ivoiriens", a-t-il assuré.
La représentante spéciale du secrétaire général sur la violence en période de conflit, Zainab Hawa Bangura, pour sa part, s’est engagée à accompagner les forces armées nationales dans les pays concernés en Afrique, notamment pour poursuivre, valider et mettre en œuvre un cadre de référence qui guidera les armées concernées par cette question cruciale.
A la suite de la crise post-électorale que la Côte d’Ivoire a traversée de 2010 à 2011, il ressort du rapport du Secrétaire général de l’ONU que la Côte d’Ivoire avait enregistré des cas de violences sexuelles dont s’étaient rendus coupables certains éléments des forces de sécurité et de défense.
tg/fmo/akn/cmas
« Je suis heureuse d’affirmer que les résultats du bilan des violences sexuelles sont plus que satisfaisants », a affirmé la ministre. Euphrasie Yao a expliqué que la Côte d’Ivoire a pu faire d’énormes progrès en moins de cinq ans grâce aux soutiens de tous les partenaires nationaux et internationaux sous l’impulsion du Président de la République, Alassane Ouattara, en sa qualité de chef suprême des armées.
« La Côte d’Ivoire a enregistré des avancées significatives en matière de prévention et de réponse à la problématique des violences sexuelles au sein de ses formes armées, et particulièrement en ce qui concerne la lutte contre toutes les formes de violences sexuelles liées aux conflits », s’est félicité le commandant des forces de l’Opération Onusienne en Côte d’Ivoire, le général Didier L'Hote. "Les Nations Unies continueront de travailler à renforcer certains domaines de compétences de leurs homologues militaires ivoiriens", a-t-il assuré.
La représentante spéciale du secrétaire général sur la violence en période de conflit, Zainab Hawa Bangura, pour sa part, s’est engagée à accompagner les forces armées nationales dans les pays concernés en Afrique, notamment pour poursuivre, valider et mettre en œuvre un cadre de référence qui guidera les armées concernées par cette question cruciale.
A la suite de la crise post-électorale que la Côte d’Ivoire a traversée de 2010 à 2011, il ressort du rapport du Secrétaire général de l’ONU que la Côte d’Ivoire avait enregistré des cas de violences sexuelles dont s’étaient rendus coupables certains éléments des forces de sécurité et de défense.
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