Le ministère ivoirien des Affaires étrangères a annoncé vendredi le lancement d'une opération de recensement des réfugiés vivant en Côte d'Ivoire.
Selon un conseiller technique du ministère, Lancina Kouamé, cette opération est le fruit d'une collaboration entre le gouvernement ivoirien et le Haut-commissariat aux réfugiés des Nations Unies (HCR).
Elle a pour but "de déterminer avec exactitude le nombre de réfugiés vivant en Côte d'Ivoire afin de pouvoir répondre aux besoins de ceux-ci de façon prompte", a noté M. Kouamé, par ailleurs responsable du Service autonome d'aide aux réfugiés et apatrides (SAARA) du ministère.
Le responsable a précisé qu'une équipe mobile se rendra éventuellement dans les hôpitaux et dans les prisons pour enregistrer les réfugiés qui s'y trouvent, assurant de la volonté des autorités d'identifier "de manière efficace" les réfugiés vivant dans le pays.
Cette identification doit par ailleurs "être entourée des garanties de sécurité les plus modernes", a-t-il souligné.
Le gouvernement ivoirien et ses partenaires humanitaires multiplient les initiatives pour une amélioration des conditions des réfugiés vivant en Côte d'Ivoire. Pour les responsables du HCR, les documents d'identification des réfugiés permettront une plus grande protection de ceux-ci.
La Côte d'Ivoire a accueilli plusieurs milliers de réfugiés au plus fort des conflits dans des pays limitrophes. Après plus de vingt ans de présence sur le sol ivoirien, de nombreux réfugiés libériens ont pour la plupart pu regagner leur pays, "rassurés par la normalisation", grâce aux opérations de rapatriement et d'assistance du HCR et du SAARA.
Selon un conseiller technique du ministère, Lancina Kouamé, cette opération est le fruit d'une collaboration entre le gouvernement ivoirien et le Haut-commissariat aux réfugiés des Nations Unies (HCR).
Elle a pour but "de déterminer avec exactitude le nombre de réfugiés vivant en Côte d'Ivoire afin de pouvoir répondre aux besoins de ceux-ci de façon prompte", a noté M. Kouamé, par ailleurs responsable du Service autonome d'aide aux réfugiés et apatrides (SAARA) du ministère.
Le responsable a précisé qu'une équipe mobile se rendra éventuellement dans les hôpitaux et dans les prisons pour enregistrer les réfugiés qui s'y trouvent, assurant de la volonté des autorités d'identifier "de manière efficace" les réfugiés vivant dans le pays.
Cette identification doit par ailleurs "être entourée des garanties de sécurité les plus modernes", a-t-il souligné.
Le gouvernement ivoirien et ses partenaires humanitaires multiplient les initiatives pour une amélioration des conditions des réfugiés vivant en Côte d'Ivoire. Pour les responsables du HCR, les documents d'identification des réfugiés permettront une plus grande protection de ceux-ci.
La Côte d'Ivoire a accueilli plusieurs milliers de réfugiés au plus fort des conflits dans des pays limitrophes. Après plus de vingt ans de présence sur le sol ivoirien, de nombreux réfugiés libériens ont pour la plupart pu regagner leur pays, "rassurés par la normalisation", grâce aux opérations de rapatriement et d'assistance du HCR et du SAARA.