C’est une véritable mise en garde. « Nous n’accepterons jamais qu’il y ait un manque à l’autorité. Parce que si l’autorité fout le camp, tout fout le camp », a martelé ce mercredi à Abidjan, le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko qui se prononçait sur les récents évènements survenus à Doropo (Bouna) et Yamoussoukro.
Le ministre a dit sa fermeté à faire respecter l’autorité de l’Etat incarnée par les Forces de défense et de sécurité. « Il est inacceptable, nous n’allons pas le tolérer et nous allons à chaque fois prendre des mesures pour que nos hommes soient en sécurité, soient protégés », a-t-il mis en garde lors de la cérémonie de remise du Prix de l’excellence aux meilleurs préfets, policiers et maires.
Relevant les efforts consentis par l’Etat en vue d’instaurer la confiance entre la population et les Forces de défense et de sécurité, il a dénoncé l’attitude de certaines personnes qui s’arrogent le droit de se faire justice en cas de manquement même du fait d’un agent des Forces de l’ordre.
A l’en croire, ces crimes ne resteront pas impunis. «Les responsables ont été identifiés et ils seront arrêtés (…) il n’est plus possible de laisser un groupe de personnes penser qu’il y a un laisser-aller», a prévenu le ministre d’Etat. Il a informé que les enquêtes sont en cours sur instructions du Président de la république et les présumés coupables de ces troubles seront bientôt devant les juridictions.
Des affrontements avaient opposé jeunes et forces de l’ordre dans la nuit du 16 au 17 novembre à Yamoussoukro, capitale administrative du pays, après la mort d’un homme de 22 ans arrêté par la police. Un peu plus tôt dans la journée à Doropo dans le Nord-Est de la Côte d'Ivoire, des affrontements avaient fait 4 morts dont 2 gendarmes.
D.Tagro
Le ministre a dit sa fermeté à faire respecter l’autorité de l’Etat incarnée par les Forces de défense et de sécurité. « Il est inacceptable, nous n’allons pas le tolérer et nous allons à chaque fois prendre des mesures pour que nos hommes soient en sécurité, soient protégés », a-t-il mis en garde lors de la cérémonie de remise du Prix de l’excellence aux meilleurs préfets, policiers et maires.
Relevant les efforts consentis par l’Etat en vue d’instaurer la confiance entre la population et les Forces de défense et de sécurité, il a dénoncé l’attitude de certaines personnes qui s’arrogent le droit de se faire justice en cas de manquement même du fait d’un agent des Forces de l’ordre.
A l’en croire, ces crimes ne resteront pas impunis. «Les responsables ont été identifiés et ils seront arrêtés (…) il n’est plus possible de laisser un groupe de personnes penser qu’il y a un laisser-aller», a prévenu le ministre d’Etat. Il a informé que les enquêtes sont en cours sur instructions du Président de la république et les présumés coupables de ces troubles seront bientôt devant les juridictions.
Des affrontements avaient opposé jeunes et forces de l’ordre dans la nuit du 16 au 17 novembre à Yamoussoukro, capitale administrative du pays, après la mort d’un homme de 22 ans arrêté par la police. Un peu plus tôt dans la journée à Doropo dans le Nord-Est de la Côte d'Ivoire, des affrontements avaient fait 4 morts dont 2 gendarmes.
D.Tagro