Le gouvernement ivoirien a commandité une ‘’étude’’ pour tenter de comprendre la ‘’violence’’ qui est devenue ‘’la première réponse du citoyen’’, a annoncé, mercredi, à Abidjan le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko.
‘’Je souhaite encore une année d’engagement. Vous avez fait beaucoup et beaucoup reste à faire. Au niveau de l’Etat, nous avons demandé une étude pour savoir pourquoi, la violence est devenue la première réponse du citoyen quand il y a une difficulté et que cette violence soit l’extrême’’, a-t-il déclaré à la faveur de la célébration des lauréats de son département ministériel du prix national d’excellence 2016.
‘’Il faut analyser pour comprendre. Je veux compter sur la contribution des membres du corps préfectoral et de la police’’, a poursuivi le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko en évoquant les récentes violences survenues à Doropo (Nord-Est) et Yamoussoukro entre populations et forces de l’ordre.
‘’Nous n’accepterons jamais qu’il y ait un manque à l’autorité, parce que si l’autorité fout le camp, tout fout le camp’’, a martelé M. Bakayoko.Pour lui, "nul n'a le droit de se faire justice".
Des affrontements avaient opposé jeunes et forces de l’ordre dans la nuit du 16 au 17 novembre à Yamoussoukro, capitale politique et administrative ivoirienne. Ces violences faisaient suite à la mort d’un homme de 22 ans arrêté par la police au cours d’une rafle.
Auparavant, des affrontements similaires avaient fait 4 morts dont 2 gendarmes dans un village de Doropo dans le Nord-Est du pays.
LS/APA
‘’Je souhaite encore une année d’engagement. Vous avez fait beaucoup et beaucoup reste à faire. Au niveau de l’Etat, nous avons demandé une étude pour savoir pourquoi, la violence est devenue la première réponse du citoyen quand il y a une difficulté et que cette violence soit l’extrême’’, a-t-il déclaré à la faveur de la célébration des lauréats de son département ministériel du prix national d’excellence 2016.
‘’Il faut analyser pour comprendre. Je veux compter sur la contribution des membres du corps préfectoral et de la police’’, a poursuivi le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko en évoquant les récentes violences survenues à Doropo (Nord-Est) et Yamoussoukro entre populations et forces de l’ordre.
‘’Nous n’accepterons jamais qu’il y ait un manque à l’autorité, parce que si l’autorité fout le camp, tout fout le camp’’, a martelé M. Bakayoko.Pour lui, "nul n'a le droit de se faire justice".
Des affrontements avaient opposé jeunes et forces de l’ordre dans la nuit du 16 au 17 novembre à Yamoussoukro, capitale politique et administrative ivoirienne. Ces violences faisaient suite à la mort d’un homme de 22 ans arrêté par la police au cours d’une rafle.
Auparavant, des affrontements similaires avaient fait 4 morts dont 2 gendarmes dans un village de Doropo dans le Nord-Est du pays.
LS/APA