Abidjan – Une étude commanditée par l'Ambassade de Grande-Bretagne afin d'évaluer le niveau de transparence dans le système ivoirien de passation des marchés publics a été présentée jeudi à Abidjan, lors d’un atelier de validation réunissant tous les acteurs du marché.
Ce projet permet de jeter les bases d’une plus grande transparence dans la passation des marchés publics. Ce qui permettra aux parties prenantes de répondre aux questions cruciales, et leur donner les moyens de comprendre et d’utiliser ces données afin de responsabiliser les agences gouvernementales au niveau national et local.
A l’ouverture des travaux, l'Ambassadeur de Grande-Bretagne en Côte d’Ivoire, Josephine Gauld, a souligné les efforts engagés par les autorités ivoiriennes pour attirer les investissements directs étrangers. Elle a indiqué toutefois que la lourdeur dans le processus de passation des marchés peut décourager certains investisseurs.
"La gouvernance a connu une amélioration globale au cours des quatre dernières années", a relevé le secrétaire général de la Haute autorité pour la bonne gouvernance, Yves Kouamé. Il a fait remarquer cependant une baisse de l’indicateur de corruption de 2015 à 2016 qui est passé de 88% à 81%, après une forte amélioration de 2011 à 2015 où l’indice est passé de 23% à 88%.
Cet atelier avait pour objectif de discuter et valider l’étude sur la transparence et la redevabilité dans la passation des marchés publics en Côte d’Ivoire, d’identifier les opportunités, les défis et les stratégies pour améliorer la participation publique dans le processus de passation des marchés publics et les mécanismes de lutte contre la corruption.
Il visait également à renforcer les capacités des acteurs ivoiriens pour comprendre et évaluer les processus de passation des marchés publics dans leur pays, d’impliquer les acteurs étatiques et non étatiques afin de favoriser la collaboration et la confiance entre les acteurs et de recueillir plus de recommandations des parties prenantes pour une plus grande transparence dans la passation des marchés publics en Côte d’Ivoire.
kkf/akn/cmas
Ce projet permet de jeter les bases d’une plus grande transparence dans la passation des marchés publics. Ce qui permettra aux parties prenantes de répondre aux questions cruciales, et leur donner les moyens de comprendre et d’utiliser ces données afin de responsabiliser les agences gouvernementales au niveau national et local.
A l’ouverture des travaux, l'Ambassadeur de Grande-Bretagne en Côte d’Ivoire, Josephine Gauld, a souligné les efforts engagés par les autorités ivoiriennes pour attirer les investissements directs étrangers. Elle a indiqué toutefois que la lourdeur dans le processus de passation des marchés peut décourager certains investisseurs.
"La gouvernance a connu une amélioration globale au cours des quatre dernières années", a relevé le secrétaire général de la Haute autorité pour la bonne gouvernance, Yves Kouamé. Il a fait remarquer cependant une baisse de l’indicateur de corruption de 2015 à 2016 qui est passé de 88% à 81%, après une forte amélioration de 2011 à 2015 où l’indice est passé de 23% à 88%.
Cet atelier avait pour objectif de discuter et valider l’étude sur la transparence et la redevabilité dans la passation des marchés publics en Côte d’Ivoire, d’identifier les opportunités, les défis et les stratégies pour améliorer la participation publique dans le processus de passation des marchés publics et les mécanismes de lutte contre la corruption.
Il visait également à renforcer les capacités des acteurs ivoiriens pour comprendre et évaluer les processus de passation des marchés publics dans leur pays, d’impliquer les acteurs étatiques et non étatiques afin de favoriser la collaboration et la confiance entre les acteurs et de recueillir plus de recommandations des parties prenantes pour une plus grande transparence dans la passation des marchés publics en Côte d’Ivoire.
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