Abidjan - Le gouvernement ivoirien, en plus des mesures de prévention et de protection, a mis en place des mesures de répression en matière de lutte contre le VIH/Sida afin de sanctionner les personnes qui commettent des infractions contre les personnes vivant avec le virus, a indiqué vendredi à Abidjan, deux femmes de l’Association des femmes juristes de Côte d’Ivoire (AFJCI), à savoir Mmes Diabaté Fatimata et Andossine Toualy.
« Autant l’Etat prévoit des mesures de prévention et des mesures de protection pour les personnes affectées ou infectées par le VIH/Sida en Côte d’Ivoire, il a également mis en place des mesures de répression », ont-elles déclaré, lors de la célébration des 10 ans d’actions communautaires de l’ONG Alliance Côte d’Ivoire.
Selon les deux juristes, toutes les infractions commises contre les personnes affectées ou infectées par le VIH/Sida, à savoir la divulgation de la séropositivité d’une personne sans son consentement, faire procéder au test de dépistage d’une personne sans son consentement, sont considérés comme des délits avec pour sanction trois mois à trois ans de prison et une amende allent de 100.000 FCFA à un million FCFA.
Lorsque ces infractions sont commises par des gestes, des menaces, des cris, des propos, dessins imprimés ou affichés, les sanctions sont sont portées au double, c’est-à-dire de six mois à six ans avec une amende de 200.000 FCFA 2000000 FCFA, ont-t-elles souligné.
Mme Diabaté et Toualy ont également indiqué qu’autant l’Etat tient à protéger les personnes vivant avec le VIH (PVVIH), il a également mis en place des mesures de répression pour les sanctionner afin d’éviter qu’elles mettent en danger la vie des personnes saines en ayant des rapport non protégés avec elles. Cette loi a été adoptée le 14 juillet 2014.
sdaf/cmas
« Autant l’Etat prévoit des mesures de prévention et des mesures de protection pour les personnes affectées ou infectées par le VIH/Sida en Côte d’Ivoire, il a également mis en place des mesures de répression », ont-elles déclaré, lors de la célébration des 10 ans d’actions communautaires de l’ONG Alliance Côte d’Ivoire.
Selon les deux juristes, toutes les infractions commises contre les personnes affectées ou infectées par le VIH/Sida, à savoir la divulgation de la séropositivité d’une personne sans son consentement, faire procéder au test de dépistage d’une personne sans son consentement, sont considérés comme des délits avec pour sanction trois mois à trois ans de prison et une amende allent de 100.000 FCFA à un million FCFA.
Lorsque ces infractions sont commises par des gestes, des menaces, des cris, des propos, dessins imprimés ou affichés, les sanctions sont sont portées au double, c’est-à-dire de six mois à six ans avec une amende de 200.000 FCFA 2000000 FCFA, ont-t-elles souligné.
Mme Diabaté et Toualy ont également indiqué qu’autant l’Etat tient à protéger les personnes vivant avec le VIH (PVVIH), il a également mis en place des mesures de répression pour les sanctionner afin d’éviter qu’elles mettent en danger la vie des personnes saines en ayant des rapport non protégés avec elles. Cette loi a été adoptée le 14 juillet 2014.
sdaf/cmas