Le Salon des infrastructures d’Abidjan(Sia) tenu du 24 au 26 novembre 2016 au parc d’exposition, route de l’aéroport, a vu la participation de l’Association des producteurs de ciment de Côte d’Ivoire (Apcci). Ce, au cours d’une présentation faite le vendredi 25 novembre sous le thème: « Le béton, une solution économique pour des routes africaines durables ».
Khalil Iben Khayat, président de l’Apcci, a indiqué que « les routes peuvent être construites autrement, moins chères et durablement ». Et d’ajouter que son association entend « représenter le secteur du ciment, secteur très important pour la Côte d’Ivoire ». Selon lui, le ciment est un intrant très important à prendre en compte dans la construction des routes » parce qu’il est une solution durable.
Aussi, le présentateur du thème, l’ingénieur expert Nouffou Tapsoba, a pu faire une comparaison des chaussées faites de béton et celles d’enrobés. A ce sujet, il a signifié que « les chaussées d’enrobés durent en moyenne 15 ans quand celles en béton tiennent entre 30 et 40 ans, sinon plus ». A l’en croire, le béton apparait comme une solution innovante et durable pour un revêtement de qualité des routes. Selon lui, « la chaussée doit être imperméable à l’eau, fournir un minimum de résistance pour une circulation confortable des engins ». L’utilisation du ciment dans la construction des routes, a mentionné M. Tapsoba, « doit respecter une certaine normalisation ». Ainsi, l’on aura « environ 60% de gravier et de sable de la masse totale, 16% pour l’eau et 8% pour le ciment ».
En terme d’économie, l’expert a laissé entendre que « le béton n’a pas besoin d’un éclairage excessif ». On peut économiser près de 30% d’énergie, nécessaire pour éclairer une chaussée en béton. Non sans préciser que contrairement aux enrobés, le matériau béton est entièrement « recyclable ».
Il convient de mentionner que l’Apcci a été créée le 15 septembre 2015 et regroupe en son sein les sociétés LafargeHolcim (ex-Socimat), SCA (Société des Ciments d’Abidjan), SOCIM (Société des Ciments du Sud-Ouest) et CIMAF (Ciments de l’Afrique), avec un chiffre d’affaires de 180 milliards de FCFA.
E. B.
Khalil Iben Khayat, président de l’Apcci, a indiqué que « les routes peuvent être construites autrement, moins chères et durablement ». Et d’ajouter que son association entend « représenter le secteur du ciment, secteur très important pour la Côte d’Ivoire ». Selon lui, le ciment est un intrant très important à prendre en compte dans la construction des routes » parce qu’il est une solution durable.
Aussi, le présentateur du thème, l’ingénieur expert Nouffou Tapsoba, a pu faire une comparaison des chaussées faites de béton et celles d’enrobés. A ce sujet, il a signifié que « les chaussées d’enrobés durent en moyenne 15 ans quand celles en béton tiennent entre 30 et 40 ans, sinon plus ». A l’en croire, le béton apparait comme une solution innovante et durable pour un revêtement de qualité des routes. Selon lui, « la chaussée doit être imperméable à l’eau, fournir un minimum de résistance pour une circulation confortable des engins ». L’utilisation du ciment dans la construction des routes, a mentionné M. Tapsoba, « doit respecter une certaine normalisation ». Ainsi, l’on aura « environ 60% de gravier et de sable de la masse totale, 16% pour l’eau et 8% pour le ciment ».
En terme d’économie, l’expert a laissé entendre que « le béton n’a pas besoin d’un éclairage excessif ». On peut économiser près de 30% d’énergie, nécessaire pour éclairer une chaussée en béton. Non sans préciser que contrairement aux enrobés, le matériau béton est entièrement « recyclable ».
Il convient de mentionner que l’Apcci a été créée le 15 septembre 2015 et regroupe en son sein les sociétés LafargeHolcim (ex-Socimat), SCA (Société des Ciments d’Abidjan), SOCIM (Société des Ciments du Sud-Ouest) et CIMAF (Ciments de l’Afrique), avec un chiffre d’affaires de 180 milliards de FCFA.
E. B.