La ministre de la Promotion de la Femme, de la Famille et de la Protection de l’Enfant, Euphrasie Kouassi Yao est présente à Nairobi au Kenya depuis le mardi 29 novembre 2016, dans le cadre de la rencontre de haut niveau sur le partenariat mondial. Elle a partagé, avec les participants à ce sommet, l’expérience ivoirienne en matière de Progrès et défis pour un développement efficace.
Euphrasie Yao a allégué que le Plan National de Développement (PND), est une stratégie de développement claire et cohérente qui a été mise en place par le chef de l’Etat, Alassane Ouattara dès sa prise de fonction en 2011. Et qui a pour objectif majeur de conduire la Côte d’Ivoire à l’émergence à l’horizon 2020. Un acte du chef de l’Etat ivoirien, à l’en croire, qui a eu pour conséquence la mise en œuvre du PND 2012-2015. Mais aussi de permettre à l’Etat de Côte d’Ivoire de rejoindre le groupe de tête des pays à forte croissance dans le monde avec un taux moyen annuel de croissance du PIB réel d’environ 9%. Elle a ajouté que la Côte d’Ivoire a pu renforcer ses infrastructures socioéconomiques et créer des millions d’emplois en moins de 5 années grâce à la mise en œuvre du PND. Euphrasie Yao est revenue sur les nombreux efforts consentis pour une participation équitable de tous les Ivoiriens au processus de développement. « Les réformes réalisées permettent aujourd’hui aux femmes et aux filles d’accéder à des corps de métiers longtemps demeurés la chasse gardée des hommes et des garçons », a dit la ministre faisant allusion à l’entrée des filles à l’Ecole Militaire Préparatoire Technique (EMPT) et à la Gendarmerie. Elle n’a pas manqué de faire cas de l’expérience du Compendium des compétences féminines dont elle reste l’initiatrice et une fervente promotrice. En dépit de cette dynamique amorcée par la Côte d’Ivoire, la ministre de la Promotion de la Femme, de la Famille et de la Protection de l’Enfant a soutenu que le chef de l’Etat et le gouvernement sont conscients que des défis restent à adresser pour un meilleur développement du pays : « Il s’agit en particulier, de renforcer la synergie d’actions avec l’ensemble des structures décentralisées, des partenaires au développement, des organisations de la société civile nationale et internationale afin que chaque acteur puisse utiliser son avantage comparatif pour l’atteinte des objectifs globaux du pays ».
HG
Euphrasie Yao a allégué que le Plan National de Développement (PND), est une stratégie de développement claire et cohérente qui a été mise en place par le chef de l’Etat, Alassane Ouattara dès sa prise de fonction en 2011. Et qui a pour objectif majeur de conduire la Côte d’Ivoire à l’émergence à l’horizon 2020. Un acte du chef de l’Etat ivoirien, à l’en croire, qui a eu pour conséquence la mise en œuvre du PND 2012-2015. Mais aussi de permettre à l’Etat de Côte d’Ivoire de rejoindre le groupe de tête des pays à forte croissance dans le monde avec un taux moyen annuel de croissance du PIB réel d’environ 9%. Elle a ajouté que la Côte d’Ivoire a pu renforcer ses infrastructures socioéconomiques et créer des millions d’emplois en moins de 5 années grâce à la mise en œuvre du PND. Euphrasie Yao est revenue sur les nombreux efforts consentis pour une participation équitable de tous les Ivoiriens au processus de développement. « Les réformes réalisées permettent aujourd’hui aux femmes et aux filles d’accéder à des corps de métiers longtemps demeurés la chasse gardée des hommes et des garçons », a dit la ministre faisant allusion à l’entrée des filles à l’Ecole Militaire Préparatoire Technique (EMPT) et à la Gendarmerie. Elle n’a pas manqué de faire cas de l’expérience du Compendium des compétences féminines dont elle reste l’initiatrice et une fervente promotrice. En dépit de cette dynamique amorcée par la Côte d’Ivoire, la ministre de la Promotion de la Femme, de la Famille et de la Protection de l’Enfant a soutenu que le chef de l’Etat et le gouvernement sont conscients que des défis restent à adresser pour un meilleur développement du pays : « Il s’agit en particulier, de renforcer la synergie d’actions avec l’ensemble des structures décentralisées, des partenaires au développement, des organisations de la société civile nationale et internationale afin que chaque acteur puisse utiliser son avantage comparatif pour l’atteinte des objectifs globaux du pays ».
HG