Abidjan (Côte d’Ivoire) - Plus de 9000 Arrêtés de concession définitive ont été signés en 2016 sur 16 934 dossiers traités, soit 53.14 %, a annoncé, vendredi, à Bingerville (Banlieue Est d’Abidjan) le ministre de la Construction et de l’Urbanisme, Mamadou Sanogo.
Cette annonce a été faite par le ministre Sanogo à l’ouverture d’un « séminaire sur la gestion des services territoriaux : bilan annuel 2016 et perspectives 2017 ».
Pendant deux jours, les travaux de ce séminaire permettront de « juger l’adéquation entre la théorie et la pratique des réformes, les reformes et leur application, l’importance de ces réformes et leur succès ».
« Permettez-moi de vous féliciter pour la réforme de l’ACD (Arrêtés de concession définitive) qui connait un succès à l’intérieur et cela grâce à vous. De 5500 ACD signés sur 21 119 traités soit 26 % en 2015. En 2016 il y a déjà 9 000 ACD signés sur 16 934 soit 53.14 %.
A ce niveau, il faut dire que nous pouvons tripler ce nombre », a pour le ministre Sanogo en s’adressant à ses collaborateurs. Pour ce faire, il a lancé depuis le 4 novembre 2015 l’opération « zéro lotissement appliqué non encore approuvé sur toute l’étendue du territoire national ».
S’agissant du bilan de son département, le ministre de la Construction et de l’Urbanisme, a indiqué que 2016 a vu la mise en place du Guichet unique du permis de construire (GUPC), le Service des terrains aménagés (SETAM), la vulgarisation de la Convention pour les grandes superficies.
Il y a également le Schéma Directeur d’Urbanisme du Grand Abidjan (SDUGA), les Schémas Directeurs des Régions. « Toutes ces reformes techniques ont été les fruits de concertation et de collaboration interne et externe », a souligné M. Sanogo.
Au plan Administratif, l’autorité des cadres des services territoriaux a été renforcée vis-à-vis des autres acteurs de la chaîne foncière par ces reformes pertinentes et plusieurs formations.
« A la fois enjeu, source de tension et de rente, le foncier urbain est aujourd’hui incontournable pour comprendre les dynamiques et mutations des villes de Côte d’Ivoire » a-t-il ajouté, soulignant que « l’extension des villes, souvent brutale, a entrainé une mauvaise gestion et la généralisation des problèmes fonciers ».
Selon lui, la Côte d’Ivoire vit une croissance urbaine considérable qui doit être suffisamment accompagnée des équipements et des aménagements nécessaires pour assurer aux habitants un cadre de vie décent.
LS
Cette annonce a été faite par le ministre Sanogo à l’ouverture d’un « séminaire sur la gestion des services territoriaux : bilan annuel 2016 et perspectives 2017 ».
Pendant deux jours, les travaux de ce séminaire permettront de « juger l’adéquation entre la théorie et la pratique des réformes, les reformes et leur application, l’importance de ces réformes et leur succès ».
« Permettez-moi de vous féliciter pour la réforme de l’ACD (Arrêtés de concession définitive) qui connait un succès à l’intérieur et cela grâce à vous. De 5500 ACD signés sur 21 119 traités soit 26 % en 2015. En 2016 il y a déjà 9 000 ACD signés sur 16 934 soit 53.14 %.
A ce niveau, il faut dire que nous pouvons tripler ce nombre », a pour le ministre Sanogo en s’adressant à ses collaborateurs. Pour ce faire, il a lancé depuis le 4 novembre 2015 l’opération « zéro lotissement appliqué non encore approuvé sur toute l’étendue du territoire national ».
S’agissant du bilan de son département, le ministre de la Construction et de l’Urbanisme, a indiqué que 2016 a vu la mise en place du Guichet unique du permis de construire (GUPC), le Service des terrains aménagés (SETAM), la vulgarisation de la Convention pour les grandes superficies.
Il y a également le Schéma Directeur d’Urbanisme du Grand Abidjan (SDUGA), les Schémas Directeurs des Régions. « Toutes ces reformes techniques ont été les fruits de concertation et de collaboration interne et externe », a souligné M. Sanogo.
Au plan Administratif, l’autorité des cadres des services territoriaux a été renforcée vis-à-vis des autres acteurs de la chaîne foncière par ces reformes pertinentes et plusieurs formations.
« A la fois enjeu, source de tension et de rente, le foncier urbain est aujourd’hui incontournable pour comprendre les dynamiques et mutations des villes de Côte d’Ivoire » a-t-il ajouté, soulignant que « l’extension des villes, souvent brutale, a entrainé une mauvaise gestion et la généralisation des problèmes fonciers ».
Selon lui, la Côte d’Ivoire vit une croissance urbaine considérable qui doit être suffisamment accompagnée des équipements et des aménagements nécessaires pour assurer aux habitants un cadre de vie décent.
LS