Séguéla – Les membres de la Commission nationale du mécanisme africain d’évaluation par les pairs (CN-MAEP) du district du Woroba (Nord-ouest, régions du Bafing, du Béré et du Worodougou) ont été encouragés samedi à la rigueur par le sous-préfet de Séguéla, Kouamé Kouakou au cours de la cérémonie de leur investiture à la rotonde de la radio locale, ‘’La voix du Worodougou’’.
‘’Ayez la rigueur comme boussole dans l’exercice de vos fonctions’’, a recommandé Kouamé Kouakou à l’endroit des sept personnalités cooptées pour siéger dans cette instance.
Au nombre de huit, les porte-voix des populations sont, entre autres, l’imam Dosso Hassane, le coordonnateur général, secondé par Diomandé Abdouramane Antonio, le secrétaire trésorier général Diomandé Kessé Edouard, le chargé à l’organisation Bakayoko Gaoussou, la responsable de la mobilisation, Alimata Bakayoko et Dosso Fatoumata.
Le représentant de la presse n’a pas encore été désigné dans ce processus qui, par le biais des populations, se focalise sur quatre domaines essentiels, en l’occurrence la démocratie et la bonne gouvernance politique, la gestion et la gouvernance économiques, la gestion des entreprises et le développement socio-économique.
La CN-MAEP, créée en 2003, est un dispositif de contrôle réciproque institué par la quarantaine d’Etats membres africains en vue d’échanger les expériences communes sur les bonnes pratiques, l’identification des lacunes ainsi que l’identification des capacités à renforcer, note-t-on.
gp/kkp/ask
‘’Ayez la rigueur comme boussole dans l’exercice de vos fonctions’’, a recommandé Kouamé Kouakou à l’endroit des sept personnalités cooptées pour siéger dans cette instance.
Au nombre de huit, les porte-voix des populations sont, entre autres, l’imam Dosso Hassane, le coordonnateur général, secondé par Diomandé Abdouramane Antonio, le secrétaire trésorier général Diomandé Kessé Edouard, le chargé à l’organisation Bakayoko Gaoussou, la responsable de la mobilisation, Alimata Bakayoko et Dosso Fatoumata.
Le représentant de la presse n’a pas encore été désigné dans ce processus qui, par le biais des populations, se focalise sur quatre domaines essentiels, en l’occurrence la démocratie et la bonne gouvernance politique, la gestion et la gouvernance économiques, la gestion des entreprises et le développement socio-économique.
La CN-MAEP, créée en 2003, est un dispositif de contrôle réciproque institué par la quarantaine d’Etats membres africains en vue d’échanger les expériences communes sur les bonnes pratiques, l’identification des lacunes ainsi que l’identification des capacités à renforcer, note-t-on.
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