La Banque ouest-africaine de développement (BOAD) accompagné par des journalistes a effectué une visite de terrain d’une cimenterie qu’elle a financé pour sa réalisation. C’était le samedi 3 décembre 2016, sur l’axe Anyama-Adzopé.
« Le ciment c’est d’abord du calcaire et du gypse. En côte d’ivoire il n’y a pas de calcaire donc on ne peut pas avoir une cimenterie complète. Il y a deux types de cimenterie. Une cimenterie intégrée qui va de la matière première qui est le calcaire jusqu’au ciment. Et celle appelée station de broyage qui n’est pas intégrée. Ici, il s’agit d’une station de broyage parce qu’il n’y a pas de calcaire », a fait savoir aux journalistes, Oumar Tembely, Directeur et chef de la mission résidente en Côte d’Ivoire. Il a soutenu qu’en réalité, toutes les unités de production de ciment en Côte d’Ivoire sont des stations de broyage. La fin des travaux de cette unité qui coûte environ 16 milliards de FCFA et financée par la BOAD, par l’entreprise d’une autre banque partenaire et qui aujourd’hui est à 85% de taux de réalisation est prévu pour mars 2017. Le premier sac de ciment pourra tomber au mois d’avril 2017. La capacité de la cimenterie est de 500 mille tonnes de ciment par ans. Un projet trouvé important par M. Tembely : « C’est un projet qui est important pour le pays car il va créer des emplois et ravitailler le marché ivoirien en ciment et même la sous-région. Le projet est important pour la BOAD aussi qui est une banque de développement. Et en cette qualité, nous soutenons tout ce qui est activité industrielle et transformation de nos produits locaux. Dans notre plan stratégique 2015/2019, tout ce qui est unité industrielle est mis en priorité dans le cadre de nos financements ». C’est pourquoi, le chef de la mission résidente en Côte d’Ivoire a dit avoir décidé d’accompagner cette initiative que la banque suit de façon « très rapprochée » de son exécution. « Ce qui est important, c’est la valeur ajoutée créée au niveau local. Et c’est la Côte d’Ivoire qui en bénéficie. Les travaux ont démarré en janvier 2015. Il a aussi fait savoir que la cimenterie emploiera une centaine de personnes directement. Et le prix sera, celui fixé par l’administration ivoirienne.
HG
« Le ciment c’est d’abord du calcaire et du gypse. En côte d’ivoire il n’y a pas de calcaire donc on ne peut pas avoir une cimenterie complète. Il y a deux types de cimenterie. Une cimenterie intégrée qui va de la matière première qui est le calcaire jusqu’au ciment. Et celle appelée station de broyage qui n’est pas intégrée. Ici, il s’agit d’une station de broyage parce qu’il n’y a pas de calcaire », a fait savoir aux journalistes, Oumar Tembely, Directeur et chef de la mission résidente en Côte d’Ivoire. Il a soutenu qu’en réalité, toutes les unités de production de ciment en Côte d’Ivoire sont des stations de broyage. La fin des travaux de cette unité qui coûte environ 16 milliards de FCFA et financée par la BOAD, par l’entreprise d’une autre banque partenaire et qui aujourd’hui est à 85% de taux de réalisation est prévu pour mars 2017. Le premier sac de ciment pourra tomber au mois d’avril 2017. La capacité de la cimenterie est de 500 mille tonnes de ciment par ans. Un projet trouvé important par M. Tembely : « C’est un projet qui est important pour le pays car il va créer des emplois et ravitailler le marché ivoirien en ciment et même la sous-région. Le projet est important pour la BOAD aussi qui est une banque de développement. Et en cette qualité, nous soutenons tout ce qui est activité industrielle et transformation de nos produits locaux. Dans notre plan stratégique 2015/2019, tout ce qui est unité industrielle est mis en priorité dans le cadre de nos financements ». C’est pourquoi, le chef de la mission résidente en Côte d’Ivoire a dit avoir décidé d’accompagner cette initiative que la banque suit de façon « très rapprochée » de son exécution. « Ce qui est important, c’est la valeur ajoutée créée au niveau local. Et c’est la Côte d’Ivoire qui en bénéficie. Les travaux ont démarré en janvier 2015. Il a aussi fait savoir que la cimenterie emploiera une centaine de personnes directement. Et le prix sera, celui fixé par l’administration ivoirienne.
HG
