Bouaké (Côte d’Ivoire) - Les prix de plusieurs produits de grande consommation, tels que l’huile de table, le sucre et le lait connaissent depuis quelques semaines une hausse allant de 50 à 100 FCFA chez les revendeurs du Centre-Nord ivoirien, a constaté sur place, dimanche, un journaliste de APA.
Dans les différentes boutiques de la ville de Bouaké (379 km au Nord d’Abidjan), la bouteille d’huile de table de 90cl est revendue à 900 FCFA contre 800 FCFA il y a seulement quelques semaines, soit une augmentation de 100 FCFA. Dans la commune d’Abobo, commune située au Nord de la capitale économique ivoirienne, la bouteille d’huile de 1,5 litre est passée de 1100 FCFA à 1400 FCFA, soit une hausse de 300 FCFA.
Le kilogramme de sucre blanc en poudre est cédé en ce moment à Bouaké à 650 F contre 600 FCFA il y a à peine un mois, soit une hausse de 50 FCFA. Revendue il y a quelques jours entre 250 et 350 FCFA, la boîte de lait concentré non sucré de 158 ml est passée à 300, voire 400 FCFA selon les marques et les fabricants. Le pot de lait demi-écrémé de 50cl qui était écoulé entre 500 et 550 FCFA selon les boutiques, coûte actuellement 600 FCFA, soit une augmentation de 50 FCFA.
‘’Pour connaître la source de ces augmentations il faut remonter plus loin chez nos grossistes. C’est eux qui ont augmenté les prix. Nous on ne fait que suivre la cadence’’, s’est défendu sous anonymat, un commerçant détaillant de Bouaké.
‘’Les entreprises locales ne sont pas assez compétitives pour couvrir les besoins nationaux et les autorités interdisent les importations. C’est ça le problème’’, explique à son tour Zakaria Bamadjè Cissé, un grossiste.
Pour Madou Touré, un père de famille rencontré à la sortie d’une boutique au quartier Koko (Centre de Bouaké), ‘’il est vraiment temps que le gouvernement prenne des résolutions pour ce genre de malencontreuse situation où tu arrives dans une boutique pour faire des achats et du jour au lendemain on te dit tel ou tel produit a changé de prix’’. ‘’C’est vraiment beaucoup embarrassant’’ s’est-il plaint.
CK/ls/APA
Dans les différentes boutiques de la ville de Bouaké (379 km au Nord d’Abidjan), la bouteille d’huile de table de 90cl est revendue à 900 FCFA contre 800 FCFA il y a seulement quelques semaines, soit une augmentation de 100 FCFA. Dans la commune d’Abobo, commune située au Nord de la capitale économique ivoirienne, la bouteille d’huile de 1,5 litre est passée de 1100 FCFA à 1400 FCFA, soit une hausse de 300 FCFA.
Le kilogramme de sucre blanc en poudre est cédé en ce moment à Bouaké à 650 F contre 600 FCFA il y a à peine un mois, soit une hausse de 50 FCFA. Revendue il y a quelques jours entre 250 et 350 FCFA, la boîte de lait concentré non sucré de 158 ml est passée à 300, voire 400 FCFA selon les marques et les fabricants. Le pot de lait demi-écrémé de 50cl qui était écoulé entre 500 et 550 FCFA selon les boutiques, coûte actuellement 600 FCFA, soit une augmentation de 50 FCFA.
‘’Pour connaître la source de ces augmentations il faut remonter plus loin chez nos grossistes. C’est eux qui ont augmenté les prix. Nous on ne fait que suivre la cadence’’, s’est défendu sous anonymat, un commerçant détaillant de Bouaké.
‘’Les entreprises locales ne sont pas assez compétitives pour couvrir les besoins nationaux et les autorités interdisent les importations. C’est ça le problème’’, explique à son tour Zakaria Bamadjè Cissé, un grossiste.
Pour Madou Touré, un père de famille rencontré à la sortie d’une boutique au quartier Koko (Centre de Bouaké), ‘’il est vraiment temps que le gouvernement prenne des résolutions pour ce genre de malencontreuse situation où tu arrives dans une boutique pour faire des achats et du jour au lendemain on te dit tel ou tel produit a changé de prix’’. ‘’C’est vraiment beaucoup embarrassant’’ s’est-il plaint.
CK/ls/APA