San Pedro – La Coordination des régions du Gbôklè-Nawa-San Pedro de la Commission nationale du Mécanisme africain d’évaluation par les pairs (CN-MAEP) a tenu jeudi à San Pedro la réunion de lancement de ses activités, en présence du préfet de la région de San Pedro et du Secrétaire national du MAEP, afin de présenter aux différents leaders communautaires de ces régions cette nouvelle structure, appelée à contribuer à la bonne gouvernance en Côte d’Ivoire.
« Le président de la République, en souscrivant au MAEP le 29 janvier 2015, avait un souci, la redevabilité, car la démocratie ce n’est pas attendre cinq ans pour faire les élections, mais de temps en temps demander au peuple son avis sur l’action des gouvernants. C’est ce que le MAEP essaie de faire », a expliqué le secrétaire national du MAEP, Sylla Kalilou.
Le Coordonnateur de la CN-MAEP de la zone du Bas Sassandra, Kouamé Djè, a précisé que le MAEP est un cadre de consultation populaire permettant aux populations de donner leurs avis sur ce que le gouvernement et les autorités locales font en politique, en économie, avec les entreprises, et pour le bien-être de tous, notamment en matière de santé, d’emploi, d’éducation, de logement, d’électricité, d’eau et de routes.
Le MAEP n’est pas un lieu de joutes politiques ou une sorte de tribunal mais, note-t-on, il vise à amener les populations, jusque dans les zones les plus reculées, à donner leurs avis anonymes sur les quatre domaines retenus par ce mécanisme, afin qu’un rapport soit produit et remis au président de la République. Les quatre domaines sont la démocratie et la gouvernance politique, la gestion et la gouvernance économique, la gouvernance des entreprises, et le développement socioéconomique.
Douze coordinations du MAEP existent à travers la Côte d’Ivoire, regroupant en leur sein entre autres des religieux, des membres d’organisations de la société civile, jeunes, femmes, planteurs, chefs d’entreprise. Créé en 2002 par les chefs d’Etat africains pour améliorer la démocratie et la bonne gouvernance dans les pays africains, le MAEP est représenté au niveau de chacun des 35 Etats membres par une Commission nationale.
jmk/ask
« Le président de la République, en souscrivant au MAEP le 29 janvier 2015, avait un souci, la redevabilité, car la démocratie ce n’est pas attendre cinq ans pour faire les élections, mais de temps en temps demander au peuple son avis sur l’action des gouvernants. C’est ce que le MAEP essaie de faire », a expliqué le secrétaire national du MAEP, Sylla Kalilou.
Le Coordonnateur de la CN-MAEP de la zone du Bas Sassandra, Kouamé Djè, a précisé que le MAEP est un cadre de consultation populaire permettant aux populations de donner leurs avis sur ce que le gouvernement et les autorités locales font en politique, en économie, avec les entreprises, et pour le bien-être de tous, notamment en matière de santé, d’emploi, d’éducation, de logement, d’électricité, d’eau et de routes.
Le MAEP n’est pas un lieu de joutes politiques ou une sorte de tribunal mais, note-t-on, il vise à amener les populations, jusque dans les zones les plus reculées, à donner leurs avis anonymes sur les quatre domaines retenus par ce mécanisme, afin qu’un rapport soit produit et remis au président de la République. Les quatre domaines sont la démocratie et la gouvernance politique, la gestion et la gouvernance économique, la gouvernance des entreprises, et le développement socioéconomique.
Douze coordinations du MAEP existent à travers la Côte d’Ivoire, regroupant en leur sein entre autres des religieux, des membres d’organisations de la société civile, jeunes, femmes, planteurs, chefs d’entreprise. Créé en 2002 par les chefs d’Etat africains pour améliorer la démocratie et la bonne gouvernance dans les pays africains, le MAEP est représenté au niveau de chacun des 35 Etats membres par une Commission nationale.
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