Le Compendium des Compétences Féminines de Côte d’Ivoire (Cocofci), a organisé, le jeudi 8 décembre 2016 à Abidjan-cocody une rencontre de sensibilisation avec les leaders d’opinion. En présence de Kouakou Magel, directeur de cabinet de Euphrasie Yao, ministre de la Promotion de la Femme, de la Famille et de la Protection de l’Enfant, des chefs traditionnels et guides religieux.
« Les résultats de la stratégie globale pour le relèvement du taux de participation des femmes est satisfaisant, car, plus de la moitié des femmes qui ont bénéficié des sessions de renforcement des capacités ici à la chaire, a fait acte de candidature pour ces élections législatives qui enregistre 326 femmes sur 2346candidats », a signifié Kouakou Magel.
Selon lui, les 326 femmes qui se lancent dans la conquête du pouvoir aux côtés des hommes, en sachant que, sous nos tropiques les pesanteurs socioculturelles sont fortement enracinées dans les mœurs et/ou, l’acceptation de l’exercice du pouvoir par les femmes apparaît encore comme une fatalité et ont tendance à s’accentuées dans les périodes électorales.
Poursuivant, le directeur de cabinet, a demandé aux leaders d’opinion notamment, aux rois, chefs traditionnels et aux guides religieux à s’engager dans la sensibilisation des populations sur la nécessité d’avoir des instances de gouvernance composées aussi bien des femmes que des hommes.
Nanan Ndepo Didas, 3ème vice-président de la Chambre des rois et chefs traditionnels de Côte d’Ivoire, chargé du Sud, s’est engagé, au nom de sa corporation, à sensibiliser la population dans les différents villages et hameaux. « La femme est en amont et en aval de la vie humaine, c’est elle qui organise la vie de l’homme, de son enfance à l’âge adulte ». Pour lui la reléguer au second plan, c’est se nier soi-même.
Quant au pasteur Ediémou Blin Jacob, au nom du forum national des confessions religieuses il a abondé dans le même sens que Nanan Ndepo Didas, reconnaissant le rôle important de la femme, a promis de relayer la sensibilisation à tous les niveaux de leurs champs d’action. « Ce que femme veut, Dieu veut, or, la femme veut la paix », a-t-il signifié. Selon lui, il faut s’appuyer sur la femme pour parvenir à une paix durable car pour lui, la paix c’est la religion héritée de la Côte d’Ivoire du Père-fondateur Félix Houphouët-Boigny. « Notre devoir est de l’entretenir ». C’est dans ce sens qu’il a invité les confessions religieuses à initier les prières œcuméniques pour la paix en Côte d’Ivoire.
Cette rencontre a été ponctuée par des échanges entre les différents participants.
EF infos : O.R
« Les résultats de la stratégie globale pour le relèvement du taux de participation des femmes est satisfaisant, car, plus de la moitié des femmes qui ont bénéficié des sessions de renforcement des capacités ici à la chaire, a fait acte de candidature pour ces élections législatives qui enregistre 326 femmes sur 2346candidats », a signifié Kouakou Magel.
Selon lui, les 326 femmes qui se lancent dans la conquête du pouvoir aux côtés des hommes, en sachant que, sous nos tropiques les pesanteurs socioculturelles sont fortement enracinées dans les mœurs et/ou, l’acceptation de l’exercice du pouvoir par les femmes apparaît encore comme une fatalité et ont tendance à s’accentuées dans les périodes électorales.
Poursuivant, le directeur de cabinet, a demandé aux leaders d’opinion notamment, aux rois, chefs traditionnels et aux guides religieux à s’engager dans la sensibilisation des populations sur la nécessité d’avoir des instances de gouvernance composées aussi bien des femmes que des hommes.
Nanan Ndepo Didas, 3ème vice-président de la Chambre des rois et chefs traditionnels de Côte d’Ivoire, chargé du Sud, s’est engagé, au nom de sa corporation, à sensibiliser la population dans les différents villages et hameaux. « La femme est en amont et en aval de la vie humaine, c’est elle qui organise la vie de l’homme, de son enfance à l’âge adulte ». Pour lui la reléguer au second plan, c’est se nier soi-même.
Quant au pasteur Ediémou Blin Jacob, au nom du forum national des confessions religieuses il a abondé dans le même sens que Nanan Ndepo Didas, reconnaissant le rôle important de la femme, a promis de relayer la sensibilisation à tous les niveaux de leurs champs d’action. « Ce que femme veut, Dieu veut, or, la femme veut la paix », a-t-il signifié. Selon lui, il faut s’appuyer sur la femme pour parvenir à une paix durable car pour lui, la paix c’est la religion héritée de la Côte d’Ivoire du Père-fondateur Félix Houphouët-Boigny. « Notre devoir est de l’entretenir ». C’est dans ce sens qu’il a invité les confessions religieuses à initier les prières œcuméniques pour la paix en Côte d’Ivoire.
Cette rencontre a été ponctuée par des échanges entre les différents participants.
EF infos : O.R