Un atelier de validation des résultats de l’étude de faisabilité de l’initiative "instauration d’un prix carbone en Côte d’Ivoire" s’est ouvert, ce mardi 13 décembre à Abidjan.
Il y a un an, l’autorité nationale du Mécanisme pour un Développement Propre (AN-MDP) lançait une réflexion sur l’opportunité de mettre en place un marché carbone domestique en Côte d’Ivoire.
Suite à ce travail préliminaire, le pays a intégré la Coalition du Leadership pour le prix du carbone (CLPC), une initiative de la Banque Mondiale visant à aider et soutenir les pays voulant instaurer un prix carbone.
Cet atelier de haut niveau vient donc renforcer l’engagement de la Côte d’Ivoire dans la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre et favoriser un engouement de ces porteurs de projets.
Le coordinateur du CN-MDP, Rachel Douayoua, soutient que cette réflexion doit être perçue comme un outil d’appui à tous les efforts de réduction d’émission engageant les acteurs responsables de la pollution en émission CO2.
L’agence nationale de l’environnement (ANDE) a toujours eu un rôle important à jouer car, selon Gbè Didier, son directeur, elle conduit les évaluations d’impact environnemental des projets et leurs aspects socio-économiques.
Le directeur pays de la Banque Mondiale, Pierre Laporte, a révélé que 40 pays planifiaient ou avaient déjà mis en place le prix carbone.
<< La BM est fière de collaborer avec les gouvernements qui veulent instaurer le prix carbone au delà des déclarations>>, a-t-il ajouté, félicitant la Côte d’Ivoire qui s’est de nouveau illustrée comme l’un des pionniers de la lutte contre le changement climatique.
"Le prix carbone applicable à plusieurs types de projets est un moyen d’encourager toutes les initiatives de réduction des émissions de gaz, en se basant sur un principe de justice et d’équité qui est celui du pollueur payeur" a précisé le directeur général de l’environnement, Dr Kouadio, représentant le ministre de l’environnement et du développement durable.
Pour lui, << Quelque soit la forme que prendra cette initiative, elle a pour mission essentielle d’encourager et de Faire prendre conscience à toutes les entités de leur empreinte carbone sur l’environnement et surtout responsabiliser les entreprises ayant des activités polluantes.>>
Face aux défis du changement climatique, la Côte d’Ivoire, à l’instar de plusieurs grandes nations, a ratifié l’accord universel juridiquement contraignant et durable à la 21e conférence des parties sur le climat qui s’est tenue en décembre 2015 à Paris.
Atapointe
Il y a un an, l’autorité nationale du Mécanisme pour un Développement Propre (AN-MDP) lançait une réflexion sur l’opportunité de mettre en place un marché carbone domestique en Côte d’Ivoire.
Suite à ce travail préliminaire, le pays a intégré la Coalition du Leadership pour le prix du carbone (CLPC), une initiative de la Banque Mondiale visant à aider et soutenir les pays voulant instaurer un prix carbone.
Cet atelier de haut niveau vient donc renforcer l’engagement de la Côte d’Ivoire dans la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre et favoriser un engouement de ces porteurs de projets.
Le coordinateur du CN-MDP, Rachel Douayoua, soutient que cette réflexion doit être perçue comme un outil d’appui à tous les efforts de réduction d’émission engageant les acteurs responsables de la pollution en émission CO2.
L’agence nationale de l’environnement (ANDE) a toujours eu un rôle important à jouer car, selon Gbè Didier, son directeur, elle conduit les évaluations d’impact environnemental des projets et leurs aspects socio-économiques.
Le directeur pays de la Banque Mondiale, Pierre Laporte, a révélé que 40 pays planifiaient ou avaient déjà mis en place le prix carbone.
<< La BM est fière de collaborer avec les gouvernements qui veulent instaurer le prix carbone au delà des déclarations>>, a-t-il ajouté, félicitant la Côte d’Ivoire qui s’est de nouveau illustrée comme l’un des pionniers de la lutte contre le changement climatique.
"Le prix carbone applicable à plusieurs types de projets est un moyen d’encourager toutes les initiatives de réduction des émissions de gaz, en se basant sur un principe de justice et d’équité qui est celui du pollueur payeur" a précisé le directeur général de l’environnement, Dr Kouadio, représentant le ministre de l’environnement et du développement durable.
Pour lui, << Quelque soit la forme que prendra cette initiative, elle a pour mission essentielle d’encourager et de Faire prendre conscience à toutes les entités de leur empreinte carbone sur l’environnement et surtout responsabiliser les entreprises ayant des activités polluantes.>>
Face aux défis du changement climatique, la Côte d’Ivoire, à l’instar de plusieurs grandes nations, a ratifié l’accord universel juridiquement contraignant et durable à la 21e conférence des parties sur le climat qui s’est tenue en décembre 2015 à Paris.
Atapointe
