A la faveur de l’amnistie fiscale décrétée par le gouvernement ivoirien de janvier à avril 2016, plus de 5000 entreprises sont sorties de la clandestinité pour se présenter aux services des impôts a annoncé, mardi à Abidjan, le ministre ivoirien auprès du Premier ministre chargé du Budget et du portefeuille de l’Etat, Abdourahmane Cissé.
Le ministre Cissé qui présentait les différentes réformes engagées par son département ainsi que les perspectives pour l’année 2017, a indiqué que ce sont au total « 5462 entreprises qui sont venues et ont été intégrées dans le système».
« J’étais comptant d’élargir l’assiette fiscale en quatre mois seulement », s’est-il félicité, en songeant à décréter une autre « amnistie fiscale ». « Nous leur avons donné l’assurance que nous regarderons pas le passé. Ce qui est passé est passé », a insisté le ministre auprès du Premier ministre chargé du Budget et du portefeuille de l’Etat.
Une amnistie fiscale a été décrétée en début d’année 2016 en faveur des entreprises qui ont accepté de déclarer leur situation fiscale réelle à la direction générale des impôts avant la fin avril 2016.
«Pour les entreprises qui le feront avant le 30 avril 2016, nous passerons l’éponge, mais passé ce délai, celles qui seront prises lors de nos contrôles paieront le prix», a prévenu en son temps le ministre Cissé.
LS/APA
Le ministre Cissé qui présentait les différentes réformes engagées par son département ainsi que les perspectives pour l’année 2017, a indiqué que ce sont au total « 5462 entreprises qui sont venues et ont été intégrées dans le système».
« J’étais comptant d’élargir l’assiette fiscale en quatre mois seulement », s’est-il félicité, en songeant à décréter une autre « amnistie fiscale ». « Nous leur avons donné l’assurance que nous regarderons pas le passé. Ce qui est passé est passé », a insisté le ministre auprès du Premier ministre chargé du Budget et du portefeuille de l’Etat.
Une amnistie fiscale a été décrétée en début d’année 2016 en faveur des entreprises qui ont accepté de déclarer leur situation fiscale réelle à la direction générale des impôts avant la fin avril 2016.
«Pour les entreprises qui le feront avant le 30 avril 2016, nous passerons l’éponge, mais passé ce délai, celles qui seront prises lors de nos contrôles paieront le prix», a prévenu en son temps le ministre Cissé.
LS/APA