Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le procès de l'ex-Première dame qui a repris, mardi, a été à nouveau reporté au 7 mars prochain, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
L’information a été donnée par le juge Boiqui Kouadio au terme de l’audience du jour.En l’absence de l’ex-première dame ivoirienne, les débats ont tourné autour de « la composition du juré et la signification de la mise en accusation » , dénoncées par les avocats de la défense commis pour la défense de Simone Gbagbo.
La procédure avait été suspendue pour ‘’permettre aux avocats commis d'office de s'imprégner davantage du dossier et permettre, également, au parquet général de leur transmettre les pièces réclamées par courrier’’, selon le Président de la Cour Boiqui Kouadjo.
Contacté au téléphone par APA lundi, Me Rodrigue Dadjé avait confirmé que cette reprise se ferait ‘’ sans nous (les conseils titulaires de Mme Gbagbo, ndlr) ni notre cliente’’.
Simone Gbagbo, 67 ans, déjà condamnée en 2015, à 20 ans de prison pour des faits ‘’d’atteinte à la sûreté de l’Etat’’ est poursuivie depuis le 31 mai 2016 devant la Cour d’assises d’Abidjan pour ‘’crimes de guerre et crimes contre l’humanité’’ lors de la crise postélectorale de décembre 2010 à avril 2011.
SY/ls
L’information a été donnée par le juge Boiqui Kouadio au terme de l’audience du jour.En l’absence de l’ex-première dame ivoirienne, les débats ont tourné autour de « la composition du juré et la signification de la mise en accusation » , dénoncées par les avocats de la défense commis pour la défense de Simone Gbagbo.
La procédure avait été suspendue pour ‘’permettre aux avocats commis d'office de s'imprégner davantage du dossier et permettre, également, au parquet général de leur transmettre les pièces réclamées par courrier’’, selon le Président de la Cour Boiqui Kouadjo.
Contacté au téléphone par APA lundi, Me Rodrigue Dadjé avait confirmé que cette reprise se ferait ‘’ sans nous (les conseils titulaires de Mme Gbagbo, ndlr) ni notre cliente’’.
Simone Gbagbo, 67 ans, déjà condamnée en 2015, à 20 ans de prison pour des faits ‘’d’atteinte à la sûreté de l’Etat’’ est poursuivie depuis le 31 mai 2016 devant la Cour d’assises d’Abidjan pour ‘’crimes de guerre et crimes contre l’humanité’’ lors de la crise postélectorale de décembre 2010 à avril 2011.
SY/ls