« Je n'ai rien à avoir avec la mort de ces quatre otages. Je ne me reproche rien », s'est-il défendu. Avant de révéler: « Lorsque le colonel Okou Modi m'a informé de leur décès, j'ai donné l’ordre d'enlever leurs corps discrètement ».
Le procès des dix accusés dans l'affaire des disparus de Novotel se poursuit. Ce mardi 1er mars 2017, au tribunal de Yopougon, Dogbo Blé, chef de la Garde républicaine au moment des faits, en avril 2011, était à la barre.
« Je n'ai rien à avoir avec la mort de ces quatre otages. Je ne me reproche rien », s'est-il défendu. Avant de révéler: « Lorsque le colonel Okou Modi m'a informé de leur décès, j'ai donné l’ordre d'enlever leurs corps discrètement ».
Sur la mort de Yves Lambelin et ses trois amis, enlevés le 4... suite de l'article sur Fraternité Matin
Le procès des dix accusés dans l'affaire des disparus de Novotel se poursuit. Ce mardi 1er mars 2017, au tribunal de Yopougon, Dogbo Blé, chef de la Garde républicaine au moment des faits, en avril 2011, était à la barre.
« Je n'ai rien à avoir avec la mort de ces quatre otages. Je ne me reproche rien », s'est-il défendu. Avant de révéler: « Lorsque le colonel Okou Modi m'a informé de leur décès, j'ai donné l’ordre d'enlever leurs corps discrètement ».
Sur la mort de Yves Lambelin et ses trois amis, enlevés le 4... suite de l'article sur Fraternité Matin