Jacques Frantz Di Rippel, père de Stéphane Frantz Di Rippel, l’ex-directeur général de l’hôtel Novotel, assassiné en avril 2011 pendant la crise post-électorale a réclamé, vendredi, au cours d’un point de presse, à Abidjan, le corps de son fils pour des funérailles.
« Je veux savoir où le corps de mon fils a été enterré pour faire ses funérailles et qui, a donné l’ordre d’aller chercher les otages à l’hôtel», a lancé M. Frantz Di Rippel, en compagnie de ses enfants, Jérôme et Gaelle, respectivement frère et sœur du défunt Stéphane Frantz Di Rippel.
Frantz Di Rippel et ses enfants ont en présence des avocats le Bâtonnier Adjé Kacou et Clémence Witt, souhaité connaitre toute la vérité sur ces enlèvements. « Nous souhaitons connaître la vérité afin de faire le deuil », a indiqué Jérôme qui a salué le professionnalisme et la partialité de la cours d’assise dans le procès qui a démarré depuis le 21 février.
Dans cette quête de la vérité, la famille Frantz Di Rippel veut également pouvoir compter sur la collaboration ou le soutien d’autres témoins et sachant en dehors du procès.
Ouvert depuis le 21 février, le procès des « disparus du Novotel », s’est poursuivi mardi et mercredi avec l’audition des dix accusés dont le général Dogbo Blé sous le regard de la famille de Stéphane Frantz Di Rippel.
bsb/kam
« Je veux savoir où le corps de mon fils a été enterré pour faire ses funérailles et qui, a donné l’ordre d’aller chercher les otages à l’hôtel», a lancé M. Frantz Di Rippel, en compagnie de ses enfants, Jérôme et Gaelle, respectivement frère et sœur du défunt Stéphane Frantz Di Rippel.
Frantz Di Rippel et ses enfants ont en présence des avocats le Bâtonnier Adjé Kacou et Clémence Witt, souhaité connaitre toute la vérité sur ces enlèvements. « Nous souhaitons connaître la vérité afin de faire le deuil », a indiqué Jérôme qui a salué le professionnalisme et la partialité de la cours d’assise dans le procès qui a démarré depuis le 21 février.
Dans cette quête de la vérité, la famille Frantz Di Rippel veut également pouvoir compter sur la collaboration ou le soutien d’autres témoins et sachant en dehors du procès.
Ouvert depuis le 21 février, le procès des « disparus du Novotel », s’est poursuivi mardi et mercredi avec l’audition des dix accusés dont le général Dogbo Blé sous le regard de la famille de Stéphane Frantz Di Rippel.
bsb/kam