Abengourou - Les conseillers régionaux de l’Indénié-Djuablin ont pris part samedi à la préfecture d’Abengourou à un séminaire de formation portant sur la comptabilité administrative de l’ordonnateur.
Il s’agissait de renforcer leurs connaissances sur les principes de base, les règles et les procédures ainsi que les textes légaux et règlementaires régissant la comptabilité administrative de l’ordonnateur.
« Notre objectif, à travers ce genre de séminaire organisé en prélude à chaque session du conseil, est de mettre les conseillers régionaux à niveau », explique le président du conseil régional de l’Indénié-Djuablin, Ehouman Boko Hubert. « Nous faisons en sorte que le thème traité coïncide avec celui inscrit à l’ordre du jour de la réunion du conseil afin de permettre aux conseillers de participer pleinement au débat », précise-t-il.
Les grands axes de l’intervention du formateur, M. Kouadio Simplice, chargé d’études à la décentralisation, ont porté sur quatre points essentiels. A savoir, les acteurs de préparation du compte administratif de l’ordonnateur, les documents de référence, la validation du compte administratif et l’exploitation de ses résultats.
Il a définit au préalable le compte administratif de l’ordonnateur comme étant un document budgétaire obligatoire récapitulant en fin d’exercice la situation d’exécution du budget en recettes et en dépenses par le président (ordonnateur). « C’est en quelque sorte, le bilan annuel de la gestion financière de l’ordonnateur », précise-t-il.
(AIP)
rkk
Il s’agissait de renforcer leurs connaissances sur les principes de base, les règles et les procédures ainsi que les textes légaux et règlementaires régissant la comptabilité administrative de l’ordonnateur.
« Notre objectif, à travers ce genre de séminaire organisé en prélude à chaque session du conseil, est de mettre les conseillers régionaux à niveau », explique le président du conseil régional de l’Indénié-Djuablin, Ehouman Boko Hubert. « Nous faisons en sorte que le thème traité coïncide avec celui inscrit à l’ordre du jour de la réunion du conseil afin de permettre aux conseillers de participer pleinement au débat », précise-t-il.
Les grands axes de l’intervention du formateur, M. Kouadio Simplice, chargé d’études à la décentralisation, ont porté sur quatre points essentiels. A savoir, les acteurs de préparation du compte administratif de l’ordonnateur, les documents de référence, la validation du compte administratif et l’exploitation de ses résultats.
Il a définit au préalable le compte administratif de l’ordonnateur comme étant un document budgétaire obligatoire récapitulant en fin d’exercice la situation d’exécution du budget en recettes et en dépenses par le président (ordonnateur). « C’est en quelque sorte, le bilan annuel de la gestion financière de l’ordonnateur », précise-t-il.
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