Le procès de l'ancienne première dame ivoirienne, jugée depuis le 31 mai 2016 pour crime contre l’Humanité, s'est brièvement rouvert en son absence mardi 7 mars aux assises d'Abidjan.
L’audience aura une nouvelle fois été écourtée pour des questions de procédure. Trente minutes après l’arrivée de la cour, les trois avocats commis d’office de l’ancienne première dame, toujours absente, ont de nouveau obtenu une suspension de séance de vingt-quatre heures.
« Elle se porte comme un charme »
Des manœuvres dilatoires destinées à bloquer les audiences ? « Non ! », a répondu à la presse Maître Amani Kouamé, l’un des avocats de la défense. « Notre cliente risque la perpétuité, notre rôle est de veiller à ce que tout soit fait dans les règles des... suite de l'article sur Jeune Afrique
L’audience aura une nouvelle fois été écourtée pour des questions de procédure. Trente minutes après l’arrivée de la cour, les trois avocats commis d’office de l’ancienne première dame, toujours absente, ont de nouveau obtenu une suspension de séance de vingt-quatre heures.
« Elle se porte comme un charme »
Des manœuvres dilatoires destinées à bloquer les audiences ? « Non ! », a répondu à la presse Maître Amani Kouamé, l’un des avocats de la défense. « Notre cliente risque la perpétuité, notre rôle est de veiller à ce que tout soit fait dans les règles des... suite de l'article sur Jeune Afrique