Ils sont artisans, peintres, vendeurs d’objets d’art dans la station balnéaire. Ils ont vécu l’attentat du 13 Mars 2016 depuis leurs stands de vente. Certains ont dû assister, impuissants, aux pillages de leurs stands lors de la débandade causée par l’attaque terroriste. Un an après, retour sur les lieux.
La cinquante révolue, Nick Amon est artiste-peintre. Dans le métier depuis 1982, cela fait une vingtaine d’années qu’il réside à Grand-Bassam. Ce musicien a vu défilé bon nombre de visiteurs à son atelier, situé à dix pas de la plage. Nick Amon a également vécu l’attentat du 13 Mars 2016. Les souvenirs lui restent encore vifs dans la mémoire. « On a assisté à tout ce qui s’est passé. Ça été le traumatisme pour nous aussi. Je me souviens avoir... suite de l'article sur Pôle Afrique
La cinquante révolue, Nick Amon est artiste-peintre. Dans le métier depuis 1982, cela fait une vingtaine d’années qu’il réside à Grand-Bassam. Ce musicien a vu défilé bon nombre de visiteurs à son atelier, situé à dix pas de la plage. Nick Amon a également vécu l’attentat du 13 Mars 2016. Les souvenirs lui restent encore vifs dans la mémoire. « On a assisté à tout ce qui s’est passé. Ça été le traumatisme pour nous aussi. Je me souviens avoir... suite de l'article sur Pôle Afrique