Bouaké - Le ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, Jean Claude Kouassi, a demandé samedi, à Bouaké, aux habitants de sa ville natale d’observer une trêve sociale, en mettant fin à toutes les manifestations violentes, les coups de feu et les grèves intempestives qui retardent la reconstruction de la région.
Lors d’une cérémonie de remerciement des populations pour sa nomination dans le gouvernement, M. Kouassi a lancé cet appel en déplorant le fait qu’après avoir été le siège de la rébellion, sa ville natale tend à devenir la localité d’où partent tous les troubles et manifestations violentes.
«Je tiens une main dans l’autre pour vous demander pardon et vous prier de nous aider», a-t-il signifié. Il a invité les leaders religieux, les chefs de communautés et tous les parents à s’impliquer dans la sensibilisation afin de créer un climat propice pour la reconstruction de la région.
Le ministre de l’Emploi et de la Protection sociale a fait savoir à son auditoire que beaucoup d’opportunité d’investissements susceptibles de créer des emplois à Bouaké ont été ratées à cause des troubles récurrents qui ont eu lieu dans la localité ces derniers temps.
«On ne peut pas continuer avec ça! C’est vrai qu’on a des problèmes. Je ne dis pas de ne pas exprimer nos problèmes, mais exprimons-les sous une forme qui permette au Président (Ouattara) et son gouvernement de nous aider», a-t-il conclu.
nbf/cmas
Lors d’une cérémonie de remerciement des populations pour sa nomination dans le gouvernement, M. Kouassi a lancé cet appel en déplorant le fait qu’après avoir été le siège de la rébellion, sa ville natale tend à devenir la localité d’où partent tous les troubles et manifestations violentes.
«Je tiens une main dans l’autre pour vous demander pardon et vous prier de nous aider», a-t-il signifié. Il a invité les leaders religieux, les chefs de communautés et tous les parents à s’impliquer dans la sensibilisation afin de créer un climat propice pour la reconstruction de la région.
Le ministre de l’Emploi et de la Protection sociale a fait savoir à son auditoire que beaucoup d’opportunité d’investissements susceptibles de créer des emplois à Bouaké ont été ratées à cause des troubles récurrents qui ont eu lieu dans la localité ces derniers temps.
«On ne peut pas continuer avec ça! C’est vrai qu’on a des problèmes. Je ne dis pas de ne pas exprimer nos problèmes, mais exprimons-les sous une forme qui permette au Président (Ouattara) et son gouvernement de nous aider», a-t-il conclu.
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