Korhogo - Le directeur régional chargé du pétrole et des énergies dans l’ex-district des savanes (régions du Poro, du Tchologo et de la Bagoué), Emmanuel Bagui, a appelé, mardi, au respect des nouvelles mesures relatives à la gestion des dépôts de produits pétroliers.
A l’occasion d’une rencontre avec les opérateurs économiques du secteur, M. Bagui a rappelé notamment les procédures de dépotage, l’utilité des inspections, les exigences de salubrité, le dispositif nécessaire de sécurité, les conditions d’enfutage, etc et insisté sur l’interdiction absolue du transvaser du produit pétrolier.
"L’avantage, c’est la traçabilité, la sécurité de la population et de vous-mêmes, et de votre matériel d’exploitation", a-t-il justifié, montrant le bien-fondé des mesures prises par l’Etat.
Il a invité ses interlocuteurs à ne pas hésiter à se rapprocher de ses services pour toute difficulté, assurant qu’une solution sera toujours trouvée dans la légalité. "Il est, par contre, risqué et hautement dangereux, compte tenu de la nature des produits manipulés, de d’exercer dans l’illégalité", a-t-il laissé entendre.
Le commerce de produits dérivés du pétrole, notamment l’essence, est très développé dans les trois régions du Poro, du Tchologo et de la Bagoué, du fait d’un très grand nombre d’engins à deux ou trois roues qui y circulent. L’an dernier, par exemple, 15 nouvelles stations-service ont ouvert. A cela s’ajoutent des dépôts-vente de gaz domestique. Mais la plupart des vendeurs et revendeurs ne respectent pas la réglementation.
kaem/fmo
A l’occasion d’une rencontre avec les opérateurs économiques du secteur, M. Bagui a rappelé notamment les procédures de dépotage, l’utilité des inspections, les exigences de salubrité, le dispositif nécessaire de sécurité, les conditions d’enfutage, etc et insisté sur l’interdiction absolue du transvaser du produit pétrolier.
"L’avantage, c’est la traçabilité, la sécurité de la population et de vous-mêmes, et de votre matériel d’exploitation", a-t-il justifié, montrant le bien-fondé des mesures prises par l’Etat.
Il a invité ses interlocuteurs à ne pas hésiter à se rapprocher de ses services pour toute difficulté, assurant qu’une solution sera toujours trouvée dans la légalité. "Il est, par contre, risqué et hautement dangereux, compte tenu de la nature des produits manipulés, de d’exercer dans l’illégalité", a-t-il laissé entendre.
Le commerce de produits dérivés du pétrole, notamment l’essence, est très développé dans les trois régions du Poro, du Tchologo et de la Bagoué, du fait d’un très grand nombre d’engins à deux ou trois roues qui y circulent. L’an dernier, par exemple, 15 nouvelles stations-service ont ouvert. A cela s’ajoutent des dépôts-vente de gaz domestique. Mais la plupart des vendeurs et revendeurs ne respectent pas la réglementation.
kaem/fmo