La Côte d’Ivoire abrite depuis hier, à Sofitel Hôtel Ivoire et ce jusqu’au vendredi 24 mars 2017, la réunion conjointe des Réseaux des Coordonnateurs en charge du programme en Afrique. A l’appel, plus d’une trentaine de pays. Lors de la cérémonie d’ouverture des travaux, Anne Désirée Ouloto, Ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable (MINSEDD) a exprimé à l’ensemble des participants au nom du Président Alassane Ouattara et du Gouvernement ivoirien la joie de la Côte d’Ivoire d’abriter, pour la seconde fois, cette rencontre de haut niveau.
Pour le Ministre Ouloto, sans la couche d’ozone la vie sur terre est impossible. Aussi, s’est-elle réjouie de la tenue de ces réunions grâce auxquelles ‘’les pays africains bénéficient d’un outil de coopération leur permettant d’examiner les problèmes communs, les enjeux, d’échanger les idées et de favoriser ou de renforcer la coopération régionale souhaitée et la collaboration en vue de satisfaire leurs obligations communes spécifiées par le Protocole de Montréal’’.
La tribune du Sofitel Hôtel Ivoire a été également mise à profit par la Côte d’Ivoire pour démontrer aux yeux de l’Afrique qu’elle a été une participante très active au succès du Protocole de Montréal dans la lutte contre la détérioration de la couche d’ozone, en prenant part à toutes les actions prescrites. Anne Ouloto a donc cité entre autres actions, l’élaboration du Programme de Pays en 1994, la mise en place des structures nationales de gestion du Protocole comme par exemple le Bureau National Ozone, l’exécution des Plans TPMP (Plan de Gestion et d’élimination des émission à effets de serres, le respect des échéances d’élimination des SAO (Substances appauvrissant la couche d’ozone), la formation des techniciens du Froid, la formation des agents des douanes et des contrôleurs du Ministère du Commerce, du personnel des entreprises phytosanitaires, la réglementation des importations des SAO et l’assistance financière et technologique des entreprises du secteur des SAO opérant leur reconversion.
Outre ces obligations du protocole, l’Etat ivoirien, selon l’oratrice, a souverainement pris deux initiatives dans la lutte pour la reconstitution de la couche d’ozone. Ce sont la volonté d’installer un Centre d’excellence en formation du froid qui sera fonctionnel en 2017 et la création d’un site internet qui répertorie l’ensemble du froid formés, leurs coordonnées, les villes où ceux-ci résident.
Elle a conclu son intervention en exhortant les participants à la réunion de haut niveau à adopter, en ce qui concerne l’Amendement de Kigali, un appel spécifique dit ‘’déclaration d’Abidjan’’.
Avant le Ministre Ouloto, l’ex-Ministre béninoise de l’Environnement Dr Juliette Biao Koudenoukpo, Directrice du Bureau Régional de ONU Environnement, les pays africains devraient pouvoir relever trois défis à savoir le respect de l’échéance de 2020 par rapport aux Hydro-fluoro Carbures, la ratification de l’Amendement de Kigali et le choix des technologies de remplacement.
Elle s’est, sans surprise, réjouie de la présence aux côtés des experts du Ministre Ouloto. ‘’Votre présence est pour nous la marque de votre préoccupation, ainsi que de celle de votre gouvernement pour la réussite du Protocole de Montréal en Côte d’Ivoire et en Afrique en générale’’, a souligné Dr. Koudenoukpo.
Pour le Ministre Ouloto, sans la couche d’ozone la vie sur terre est impossible. Aussi, s’est-elle réjouie de la tenue de ces réunions grâce auxquelles ‘’les pays africains bénéficient d’un outil de coopération leur permettant d’examiner les problèmes communs, les enjeux, d’échanger les idées et de favoriser ou de renforcer la coopération régionale souhaitée et la collaboration en vue de satisfaire leurs obligations communes spécifiées par le Protocole de Montréal’’.
La tribune du Sofitel Hôtel Ivoire a été également mise à profit par la Côte d’Ivoire pour démontrer aux yeux de l’Afrique qu’elle a été une participante très active au succès du Protocole de Montréal dans la lutte contre la détérioration de la couche d’ozone, en prenant part à toutes les actions prescrites. Anne Ouloto a donc cité entre autres actions, l’élaboration du Programme de Pays en 1994, la mise en place des structures nationales de gestion du Protocole comme par exemple le Bureau National Ozone, l’exécution des Plans TPMP (Plan de Gestion et d’élimination des émission à effets de serres, le respect des échéances d’élimination des SAO (Substances appauvrissant la couche d’ozone), la formation des techniciens du Froid, la formation des agents des douanes et des contrôleurs du Ministère du Commerce, du personnel des entreprises phytosanitaires, la réglementation des importations des SAO et l’assistance financière et technologique des entreprises du secteur des SAO opérant leur reconversion.
Outre ces obligations du protocole, l’Etat ivoirien, selon l’oratrice, a souverainement pris deux initiatives dans la lutte pour la reconstitution de la couche d’ozone. Ce sont la volonté d’installer un Centre d’excellence en formation du froid qui sera fonctionnel en 2017 et la création d’un site internet qui répertorie l’ensemble du froid formés, leurs coordonnées, les villes où ceux-ci résident.
Elle a conclu son intervention en exhortant les participants à la réunion de haut niveau à adopter, en ce qui concerne l’Amendement de Kigali, un appel spécifique dit ‘’déclaration d’Abidjan’’.
Avant le Ministre Ouloto, l’ex-Ministre béninoise de l’Environnement Dr Juliette Biao Koudenoukpo, Directrice du Bureau Régional de ONU Environnement, les pays africains devraient pouvoir relever trois défis à savoir le respect de l’échéance de 2020 par rapport aux Hydro-fluoro Carbures, la ratification de l’Amendement de Kigali et le choix des technologies de remplacement.
Elle s’est, sans surprise, réjouie de la présence aux côtés des experts du Ministre Ouloto. ‘’Votre présence est pour nous la marque de votre préoccupation, ainsi que de celle de votre gouvernement pour la réussite du Protocole de Montréal en Côte d’Ivoire et en Afrique en générale’’, a souligné Dr. Koudenoukpo.