Abidjan - Le commissaire de police, Touré Mabonga, supérieur hiérarchique, au moment de la crise post-électorale, du commissaire Osé Logué, un des principaux accusés dans l’affaire des disparus du Novotel a, lors de son témoignage, mardi, devant la cour, évoqué les accointances de celui-ci avec le Groupement patriotique pour la paix (GPP), un groupe d’auto-défense proche de l'ex-régime.
« J’ai plusieurs fois interpellé le commissaire Osée Logué. Je lui ai fait savoir que ses relations avec les membres du GPP dépassaient le cadre strictement professionnel », a-t-elle révélé, non sans souligner ses qualités de « bosseur ».
Poursuivant, elle a souligné devant la cour, qu’à la date du 31 mars, le commissariat du 1er arrondissement (Plateau) était aux mains des hommes de ce groupe d’auto-défense, les éléments de police s’étant retirés.
Appelé à la barre pour se défendre, le commissaire Osée Logué a tout nié en bloc. Cette journée a aussi été marquée par le passage à la barre du préfet de police adjoint, au moment des faits, le commissaire Djakouri Gnahoua et de quatre autres témoins, tous des militaires.
ti/akn/fmo
« J’ai plusieurs fois interpellé le commissaire Osée Logué. Je lui ai fait savoir que ses relations avec les membres du GPP dépassaient le cadre strictement professionnel », a-t-elle révélé, non sans souligner ses qualités de « bosseur ».
Poursuivant, elle a souligné devant la cour, qu’à la date du 31 mars, le commissariat du 1er arrondissement (Plateau) était aux mains des hommes de ce groupe d’auto-défense, les éléments de police s’étant retirés.
Appelé à la barre pour se défendre, le commissaire Osée Logué a tout nié en bloc. Cette journée a aussi été marquée par le passage à la barre du préfet de police adjoint, au moment des faits, le commissaire Djakouri Gnahoua et de quatre autres témoins, tous des militaires.
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