La Coordination pour une alternative pacifique (CAP), une structure politique portée récemment sur les fonts baptismaux, réclame une concertation nationale souveraine. Lors d’une conférence de presse qu’il a animée, hier, à Port-Bouët, le président de cette organisation politique, Adama Ouattara, également président du Mouvement Ivoirien pour le Renouveau et l’Espérance (MIRE), a justifié la mise en place d’une telle concertation. « Depuis l’avènement d’Alassane Ouattara à la Présidence de la République, les populations ont nourri beaucoup d’espoir pour le retour de la quiétude sociale par un désarmement des ex-combattants, une réconciliation nationale et l’amélioration de leurs conditions de vie. Mais hélas, il n’a rien fait pour répondre à l’attente des Ivoiriens», a-t-il affirmé.
Selon lui, c’est le contraire de la renaissance démocratique et sociale qui est offert aux Ivoiriens. « Des inégalités sociales se sont accrues. L’insécurité est devenue endémique. La réconciliation et le désarmement des ex-combattants ardemment souhaités par le peuple n’ont pas atteint leurs objectifs. Des problèmes de l’école sont restés en suspens. Les médias d’Etat sont difficilement accessibles aux membres de l’opposition», a t-il fait remarquer. Adama Ouattara a également indiqué que la grande majorité des ménages croupit sous le poids de la cherté de la vie, les hôpitaux devenant de plus en plus de véritables mouroirs. « Des populations démunies sont déguerpies sans plan de recasement préalable ou de dédommagement. Le calvaire des populations est accentué par la défaillance de la politique des transports publics. La hausse des factures d’électricité est la goutte d’eau qui a occasionné il y a quelques mois, de violentes manifestations dans ce pays».
Il a appelé à la mobilisation de toutes les forces vives du pays pour la restauration de la paix, de la concorde et de la République. A l’en croire, cette concertation nationale souveraine regroupera autour d’une table, tous les Ivoiriens. Objectif visé : trouver des solutions définitives et durables à ces différents problèmes pour sauver la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire. Le Cap est également composé de Tokpa Victor, président du Mouvement National Ivoirien (MNI), d’Ousmane Camara président de l’Ong Jeunesses Actives, de Kromel Akpa, président de l’Alliance pour la Démocratie en Côte d’Ivoire (ADCI) et du chef des Agni de Port-Bouêt, Kacou N’Goran.
Charles Bédé
Selon lui, c’est le contraire de la renaissance démocratique et sociale qui est offert aux Ivoiriens. « Des inégalités sociales se sont accrues. L’insécurité est devenue endémique. La réconciliation et le désarmement des ex-combattants ardemment souhaités par le peuple n’ont pas atteint leurs objectifs. Des problèmes de l’école sont restés en suspens. Les médias d’Etat sont difficilement accessibles aux membres de l’opposition», a t-il fait remarquer. Adama Ouattara a également indiqué que la grande majorité des ménages croupit sous le poids de la cherté de la vie, les hôpitaux devenant de plus en plus de véritables mouroirs. « Des populations démunies sont déguerpies sans plan de recasement préalable ou de dédommagement. Le calvaire des populations est accentué par la défaillance de la politique des transports publics. La hausse des factures d’électricité est la goutte d’eau qui a occasionné il y a quelques mois, de violentes manifestations dans ce pays».
Il a appelé à la mobilisation de toutes les forces vives du pays pour la restauration de la paix, de la concorde et de la République. A l’en croire, cette concertation nationale souveraine regroupera autour d’une table, tous les Ivoiriens. Objectif visé : trouver des solutions définitives et durables à ces différents problèmes pour sauver la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire. Le Cap est également composé de Tokpa Victor, président du Mouvement National Ivoirien (MNI), d’Ousmane Camara président de l’Ong Jeunesses Actives, de Kromel Akpa, président de l’Alliance pour la Démocratie en Côte d’Ivoire (ADCI) et du chef des Agni de Port-Bouêt, Kacou N’Goran.
Charles Bédé
