(Nairobi) – L’acquittement en Côte d’Ivoire de l’ex-Première dame Simone Gbagbo pour crimes contre l’humanité à l’issue d’un procès ayant suscité des inquiétudes en matière d’équité, et entaché par l’absence de preuves essentielles, met en évidence l’importance de l’affaire à son encontre devant la Cour pénale internationale a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui.
Simone Gbagbo était jugée pour de graves violations des droits humains commises durant la crise postélectorale, un épisode sanglant déclenché par le refus de Laurent Gbagbo de céder le pouvoir à Alassane Ouattara suite à l’élection présidentielle de novembre 2010. Cette crise a conduit à des violences politiques et finalement à une reprise du conflit armé. Entre... suite de l'article sur
Simone Gbagbo était jugée pour de graves violations des droits humains commises durant la crise postélectorale, un épisode sanglant déclenché par le refus de Laurent Gbagbo de céder le pouvoir à Alassane Ouattara suite à l’élection présidentielle de novembre 2010. Cette crise a conduit à des violences politiques et finalement à une reprise du conflit armé. Entre... suite de l'article sur