Abidjan - La notion de développement et d’émergence "ne se base pas seulement sur les indicateurs économiques mais sur le développement de l’individus et donc de la population", a indiqué mercredi, le chef d’unité Examens multidimensionnelles du centre de développement de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), Jan Rielander.
Animant un panel sur « La transformation structurelle, inclusive et durable » à l’occasion de la Conférence internationale sur l’émergence de l’Afrique (CIEA) qui se tient du mardi au jeudi, à Abidjan, M. Reilander a relevé cinq axes sur lesquels des actions doivent être menées pour atteindre l’émergence.
Il s’agit de veiller à la prospérité de la population qui doit bénéficier d’un développement inclusive avec une participation de la main d’œuvre rurale aux activités agricoles, industrielles et commerciales, de la sauvegarde de la paix et des institutions en ayant à l’esprit le conservation du contrat social. Il a aussi évoqué la mobilisation des ressources domestiques, le renforcement de l’intégration régionale avec des partenariats commerciaux forts entre les pays.
« L’émergence, le développement est une notion dynamique qui est en évolution. Il faut des stratégies d’émergence compétitives, adaptées au changement et une planification de ces stratégies », a-t-il-conclu.
Ouvert mardi en présence de quatre chefs d’Etat dont le président Alassane Ouattara, la CIEA vise, pour cette 2ème édition, à faire le point sur la mise en œuvre des plans d’émergence à travers le partage d’expériences d’autres pays d’Afrique et d’ailleurs.
tad/cmas
Animant un panel sur « La transformation structurelle, inclusive et durable » à l’occasion de la Conférence internationale sur l’émergence de l’Afrique (CIEA) qui se tient du mardi au jeudi, à Abidjan, M. Reilander a relevé cinq axes sur lesquels des actions doivent être menées pour atteindre l’émergence.
Il s’agit de veiller à la prospérité de la population qui doit bénéficier d’un développement inclusive avec une participation de la main d’œuvre rurale aux activités agricoles, industrielles et commerciales, de la sauvegarde de la paix et des institutions en ayant à l’esprit le conservation du contrat social. Il a aussi évoqué la mobilisation des ressources domestiques, le renforcement de l’intégration régionale avec des partenariats commerciaux forts entre les pays.
« L’émergence, le développement est une notion dynamique qui est en évolution. Il faut des stratégies d’émergence compétitives, adaptées au changement et une planification de ces stratégies », a-t-il-conclu.
Ouvert mardi en présence de quatre chefs d’Etat dont le président Alassane Ouattara, la CIEA vise, pour cette 2ème édition, à faire le point sur la mise en œuvre des plans d’émergence à travers le partage d’expériences d’autres pays d’Afrique et d’ailleurs.
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