Abidjan - L’ex Premier ministre du Burkina Faso, Tertius Zongo, recommande l’intégration de la culture dans les stratégies et plans de développement pour l’atteinte de l’émergence des Etats africains.
« On ne peut asseoir un développement durable sans la culture. Essayons d’intégrer la culture dans nos systèmes de développement », a préconisé mardi M. Zongo qui présidait un panel sur la transformation structurelle inclusive et durable à la Conférence internationale sur l’Emergence de l’Afrique (CIEA).
Il a étayé son assertion par l’exemple du Rwanda qui a su intégrer les valeurs socioculturelles dans l’élaboration de sa stratégie de développement et a obtenu des résultats probants.
« Il faut intégrer les indices de transformations dans nos politiques, car ils permettent de faire le point de l’évolution de nos plans de développement », a-t-il affirmé, avant d’inviter les Etats africains à s’inscrire dans l’intégration régionale qui dit-il, est un moyen de facilitation de la marche vers le développement.
La CIEA s’est ouverte mardi en présence du chef de l’Etat ivoirien et de ses homologues du Sénégal, de la Guinée et du Liberia. Elle s’achève jeudi.
bbl/tad/akn/kam
« On ne peut asseoir un développement durable sans la culture. Essayons d’intégrer la culture dans nos systèmes de développement », a préconisé mardi M. Zongo qui présidait un panel sur la transformation structurelle inclusive et durable à la Conférence internationale sur l’Emergence de l’Afrique (CIEA).
Il a étayé son assertion par l’exemple du Rwanda qui a su intégrer les valeurs socioculturelles dans l’élaboration de sa stratégie de développement et a obtenu des résultats probants.
« Il faut intégrer les indices de transformations dans nos politiques, car ils permettent de faire le point de l’évolution de nos plans de développement », a-t-il affirmé, avant d’inviter les Etats africains à s’inscrire dans l’intégration régionale qui dit-il, est un moyen de facilitation de la marche vers le développement.
La CIEA s’est ouverte mardi en présence du chef de l’Etat ivoirien et de ses homologues du Sénégal, de la Guinée et du Liberia. Elle s’achève jeudi.
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