Des associations parties civiles au procès ne cachent pas leur désarroi au lendemain de l'acquittement de Simone Gbagbo, qui était poursuivie pour crime contre l'Humanité et crime de guerre. Face à une justice ivoirienne jugée partiale, certaines organisations en appellent à la Cour pénale Internationale (CPI).
Au lendemain de l’acquittement de Simone Gbagbo, les réactions arrivent au compte-gouttes. Contacté par Jeune Afrique, le président de la Ligue Ivoirienne des Droits de l’Homme (Lidho), Pierre Adjoumani-Kouna, confie ne pas être surpris par la décision de la Cour d’assises d’Abidjan. Lors du procès, son association s’est constituée partie civile. « Nos avocats n’ont pas eu accès tous les documents et nous craignions que la décision nous soit... suite de l'article sur Jeune Afrique
Au lendemain de l’acquittement de Simone Gbagbo, les réactions arrivent au compte-gouttes. Contacté par Jeune Afrique, le président de la Ligue Ivoirienne des Droits de l’Homme (Lidho), Pierre Adjoumani-Kouna, confie ne pas être surpris par la décision de la Cour d’assises d’Abidjan. Lors du procès, son association s’est constituée partie civile. « Nos avocats n’ont pas eu accès tous les documents et nous craignions que la décision nous soit... suite de l'article sur Jeune Afrique