Yamoussoukro - Le directeur national de l’ONG "International rescue committee" (IRC, Comité international du secours), Louis Falcy, a annoncé vendredi, lors d’un atelier bilan tenu à Yamoussoukro, la sensibilisation pour une adhérence maximale au niveau du traitement dans la durée pour faire baisser considérablement le taux de prévalence du VIH-Sida passé, ces dernières années, à 2,7% dans le pays.
« Cela passe par la poursuite de la sensibilisation et l’identification des personnes vivant avec le VIH, l’encouragement au dépistage, le soutien et le suivi aux victimes et personnes infectées, ainsi que leurs familles, au quotidien », a indiqué le directeur national de l’IRC lors de l’atelier marquant la fin des sept années d’exécution du projet CARA (Commmunity Assistance for Responding To Aids), de lutte contre le Sida.
Mis en œuvre depuis 2010 en Côte d’Ivoire, par l’ONG IRC, « le projet qui s’achève a atteint ses objectifs et a enregistré des résultats satisfaisants pour dépasser quasiment chacun des axes qui le composaient, notamment l’aspect prévention en essayant de toucher les personnes les plus à risque », a fait savoir Louis Falcy. Il a souligné que « dans ce cadre-là, plus de 25 000 personnes ont été dépistées avec un taux de personnes positives de 5% au-dessus de la moyenne nationale », a-t-il fait remarquer.
Le projet a permis de sensibiliser 107 000 personnes, dépister 25 524 sur 23 211 attendues, avec 1191 ayant un résultat positif, de distribuer 3 213 préservatifs et de créer 70 points de vente de préservatifs. « Il a permis aussi de soutenir 23 462 orphelins et enfants vulnérables (OEV), 8 218 personnes vivant avec le VIH et les membres de leurs familles, au nombre de 11 083 », a confié le coordonnateur du projet, le Dr Aristide Okou, lors de la présentation des résultats.
Le projet CARA est un programme de prévention, de soins et de soutien communautaire de personnes malades du Sida, de renforcement de capacités des partenaires dans la lutte contre le VIH/Sida.
Financé par le plan d’urgence du président des Etats-Unis pour la lutte contre le Sida (PEPFAR), le projet avait pour cible les jeunes filles de 15 à 24 ans, les hommes de plus de 25 ans, les personnes vivant avec le VIH, les OEV et les victimes de violences basées sur le genre (VGB).
(AIP)
nam/kp
« Cela passe par la poursuite de la sensibilisation et l’identification des personnes vivant avec le VIH, l’encouragement au dépistage, le soutien et le suivi aux victimes et personnes infectées, ainsi que leurs familles, au quotidien », a indiqué le directeur national de l’IRC lors de l’atelier marquant la fin des sept années d’exécution du projet CARA (Commmunity Assistance for Responding To Aids), de lutte contre le Sida.
Mis en œuvre depuis 2010 en Côte d’Ivoire, par l’ONG IRC, « le projet qui s’achève a atteint ses objectifs et a enregistré des résultats satisfaisants pour dépasser quasiment chacun des axes qui le composaient, notamment l’aspect prévention en essayant de toucher les personnes les plus à risque », a fait savoir Louis Falcy. Il a souligné que « dans ce cadre-là, plus de 25 000 personnes ont été dépistées avec un taux de personnes positives de 5% au-dessus de la moyenne nationale », a-t-il fait remarquer.
Le projet a permis de sensibiliser 107 000 personnes, dépister 25 524 sur 23 211 attendues, avec 1191 ayant un résultat positif, de distribuer 3 213 préservatifs et de créer 70 points de vente de préservatifs. « Il a permis aussi de soutenir 23 462 orphelins et enfants vulnérables (OEV), 8 218 personnes vivant avec le VIH et les membres de leurs familles, au nombre de 11 083 », a confié le coordonnateur du projet, le Dr Aristide Okou, lors de la présentation des résultats.
Le projet CARA est un programme de prévention, de soins et de soutien communautaire de personnes malades du Sida, de renforcement de capacités des partenaires dans la lutte contre le VIH/Sida.
Financé par le plan d’urgence du président des Etats-Unis pour la lutte contre le Sida (PEPFAR), le projet avait pour cible les jeunes filles de 15 à 24 ans, les hommes de plus de 25 ans, les personnes vivant avec le VIH, les OEV et les victimes de violences basées sur le genre (VGB).
(AIP)
nam/kp