Abengourou - Le ministre de la fonction publique et de la modernisation de l’administration, Abinan Kouakou Pascal, a profité samedi d’une visite des réalisations du conseil régional de l’Indénié-Djuablin pour expliquer aux populations d’Aniassué (22km au sud d’Abengourou) les raisons qui ont amené le gouvernement a réviser le prix bord champ du kg de cacao à la baisse.
Pour lui, il ne s’agit ni plus ni moins qu’une décision imposée par le marché international du cacao. « Aujourd’hui le prix du kg de cacao a considérablement chuté à la bourse de Londres. De 1800 FCFA l’année dernière, le cacao se négocie actuellement à 1100 ou 1200 FCFA. Voilà pourquoi le prix a été fixé à 700FCFA pour la petite traite », a-t-il indiqué.
Le ministre Pascal Abinan a fait savoir à ses « parents » d’Aniassué que ce n’est donc pas de gaité de cœur que le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, a pris cette décision de baisser le coût du kg de cacao. Mais qu’il s’est vu dans l’obligation de le faire.
« Le président a annoncé le nouveau prix la mort dans l’âme », a-t-il dit, invitant les populations, notamment, les producteurs de café-cacao d’Aniassué et au-delà de toute la région de l’Indénié-Djuablin, à ne pas donner du crédit à toute autre explication qui pour lui n’est que du mensonge et une volonté manifeste d’intoxiquer la population.
(AIP)
akn/rkk
Pour lui, il ne s’agit ni plus ni moins qu’une décision imposée par le marché international du cacao. « Aujourd’hui le prix du kg de cacao a considérablement chuté à la bourse de Londres. De 1800 FCFA l’année dernière, le cacao se négocie actuellement à 1100 ou 1200 FCFA. Voilà pourquoi le prix a été fixé à 700FCFA pour la petite traite », a-t-il indiqué.
Le ministre Pascal Abinan a fait savoir à ses « parents » d’Aniassué que ce n’est donc pas de gaité de cœur que le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, a pris cette décision de baisser le coût du kg de cacao. Mais qu’il s’est vu dans l’obligation de le faire.
« Le président a annoncé le nouveau prix la mort dans l’âme », a-t-il dit, invitant les populations, notamment, les producteurs de café-cacao d’Aniassué et au-delà de toute la région de l’Indénié-Djuablin, à ne pas donner du crédit à toute autre explication qui pour lui n’est que du mensonge et une volonté manifeste d’intoxiquer la population.
(AIP)
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