La présidente de l’Ong Seemi, Apolline Simi Telly, est très inquiète en ce moment. La finale du concours de culture dénommé « Génie de l’environnement et des droits de l’homme (Gedho) », dont elle est l’initiatrice à Divo, risque de ne pas se tenir par manque de lots pour récompenser les lauréats. « Notre concours est à sa 2ème édition. Mais contrairement à l’année dernière, cette année, à moins d’un mois de la finale, aucun lot n’est encore disponible pour récompenser les participants et les vainqueurs. Nous avons 20 établissements réparties en 4 poules. En son temps, l’ONUCI nous avait épaulés mais elle n’est plus là. Nous avons adressé de nombreux courriers à nombre d’institutions et de personnalités. A ce jour, nous n’avons reçu la moindre réponse. Nous avons organisé les manches éliminatoires avec des fonds propres mais c’est l’essoufflement », a-t-elle avoué lors d’un entretien qu’elle nous a accordé. La conséquence esy qu’elle risque de ne plus bénéficier du crédit que les élèves des établissements de l’enseignement secondaire public et privé, technique et professionnel de Divo accordaient à sa structure, dont l’objectif est d’inculquer aux élèves des comportements éco-citoyens. A savoir, ramasser les ordures, s’abstenir de jeter des bouts de papier à terre, en un mot, apprendre à vivre dans un environnement propre qui garantit une bonne santé.
L’Ong Seemi, en 4 ans de présence dans le Loh-Djiboua, a enlevé une cinquantaine de tonnes de sachets plastiques provenant, en général, des rues de la région.
Doumbia Namory
Correspondant
Permanent dans le Goh
L’Ong Seemi, en 4 ans de présence dans le Loh-Djiboua, a enlevé une cinquantaine de tonnes de sachets plastiques provenant, en général, des rues de la région.
Doumbia Namory
Correspondant
Permanent dans le Goh