L’ISTC Abidjan-Cocody a servi de cadre le mercredi 5 avril 2017 à une conférence de presse pour annoncer le lancement de la lutte contre l’immigration clandestine des jeunes Africains.
Mme Djiro Florentine, présidente du réseau ouest-africain pour la lutte contre l’immigration clandestine (REALIC) et journaliste à la radio de la Radio de la paix (Ex-Onuci-Fm) était la conférencière . Selon elle, le phénomène de l’immigration a pris de l’ampleur dans ces cinq dernières années et le réseau a vu le jour en septembre 2016 pour freiner ce fléau en Afrique subsaharienne. Selon le récent rapport de l’Organisation Internationale pour les Migrations(OIM), ce sont plus de 800 migrants Ivoiriens qui ont été enregistrés seulement de janvier à février 2017 sur le sol italien. C’est pourquoi « nous mettons sur pied cette organisation non-gouvernementale pour lutter contre ce phénomène. Nous avons tous les atouts pour aider nos jeunes frères et sœurs qui ont envie de travailler et qui sont des jeunes diplômés ». Et de préciser que « nous, les membres fondateurs du réseau sont les travailleurs du système des nations unies en occurrence l’ONUCI de type associatif entend combattre ce fléau qui affecte durement notre communauté et aujourd’hui une problématique pour l’ensemble de la communauté internationale». Elle a indiqué l’objectif de son réseau est de lutter efficacement contre l’immigration irrégulière à travers une synergie d’action dans les pays d’Afrique de l’ouest et de renforcer les efforts de dissuasions des candidats à l’immigration sur le terrain. C’est pourquoi nous demandons « la sensibilisation et la mobilisation de fonds », pour le financement de micro-projets au bénéfice des éventuels candidats à l’immigration. Nous interpellons la conscience de tout un chacun, l’Etat de Côte d’Ivoire et la Cedeao à travailler ensemble. Nous avons des séances de sensibilisation avec des leaders communautaires et des jeunes dans les communes d’Abobo et Yopougon en juillet 2017 et nous lançons nos activités à court, moyen et long terme à Daloa qui est la base arrière des passeurs, point de départ de la plupart des migrants ivoiriens dans le courant du mois de mai 2017 » . Quant à M. Wahiou Jérôme, agent de liaison Cedeao, il a apporté sa contribution. « Nous souhaitons avoir les ateliers c’est-à-dire la documentation pour bien organiser le lancement, il faut bien ficeler le projet afin de bien communiquer au plus jeune.
». Les représentants du Burkina Faso, de l’ambassade de Grande-Bretagne, la communauté CEDEAO et le Représentant de Droit de l’Homme de l’Onuci étaient présents à la rencontre.
TAB avec DK
Mme Djiro Florentine, présidente du réseau ouest-africain pour la lutte contre l’immigration clandestine (REALIC) et journaliste à la radio de la Radio de la paix (Ex-Onuci-Fm) était la conférencière . Selon elle, le phénomène de l’immigration a pris de l’ampleur dans ces cinq dernières années et le réseau a vu le jour en septembre 2016 pour freiner ce fléau en Afrique subsaharienne. Selon le récent rapport de l’Organisation Internationale pour les Migrations(OIM), ce sont plus de 800 migrants Ivoiriens qui ont été enregistrés seulement de janvier à février 2017 sur le sol italien. C’est pourquoi « nous mettons sur pied cette organisation non-gouvernementale pour lutter contre ce phénomène. Nous avons tous les atouts pour aider nos jeunes frères et sœurs qui ont envie de travailler et qui sont des jeunes diplômés ». Et de préciser que « nous, les membres fondateurs du réseau sont les travailleurs du système des nations unies en occurrence l’ONUCI de type associatif entend combattre ce fléau qui affecte durement notre communauté et aujourd’hui une problématique pour l’ensemble de la communauté internationale». Elle a indiqué l’objectif de son réseau est de lutter efficacement contre l’immigration irrégulière à travers une synergie d’action dans les pays d’Afrique de l’ouest et de renforcer les efforts de dissuasions des candidats à l’immigration sur le terrain. C’est pourquoi nous demandons « la sensibilisation et la mobilisation de fonds », pour le financement de micro-projets au bénéfice des éventuels candidats à l’immigration. Nous interpellons la conscience de tout un chacun, l’Etat de Côte d’Ivoire et la Cedeao à travailler ensemble. Nous avons des séances de sensibilisation avec des leaders communautaires et des jeunes dans les communes d’Abobo et Yopougon en juillet 2017 et nous lançons nos activités à court, moyen et long terme à Daloa qui est la base arrière des passeurs, point de départ de la plupart des migrants ivoiriens dans le courant du mois de mai 2017 » . Quant à M. Wahiou Jérôme, agent de liaison Cedeao, il a apporté sa contribution. « Nous souhaitons avoir les ateliers c’est-à-dire la documentation pour bien organiser le lancement, il faut bien ficeler le projet afin de bien communiquer au plus jeune.
». Les représentants du Burkina Faso, de l’ambassade de Grande-Bretagne, la communauté CEDEAO et le Représentant de Droit de l’Homme de l’Onuci étaient présents à la rencontre.
TAB avec DK