Le représentant résidant de l’Unicef Côte d’Ivoire, Dr Aboubacar Kampo, a présenté, hier, à l’Hôtel Tiama d’Abidjan-Plateau, les objectifs pays de l’Unicef pour la période 2017-2020. C’était à l’occasion d’un petit déjeuner avec la presse nationale et internationale organisé avec le RAMEDE-CI. Dr Aboubacar Kampo a indiqué que pour les 4 années du cycle de ce programme, ce sont 139 millions de dollars américains qui sont mobilisés pour les 7 axes prioritaires de l’Unicef. Ce sont l’eau et l’assainissement, la santé, la nutrition, la protection, l’éducation, le vih-sida et l’engagement des jeunes.
Cet engagement de l’Unicef est fait, comme le slogan l’indique, “pour chaque enfant“. En effet, selon les données de l’Unicef, 50% de la population ivoirienne a moins de 20 ans. 46% vit sous le seuil de la pauvreté et un enfant sur 10 meurt avant l’âge de 5 ans. « La plus grande richesse de ce pays, c’est l’homme. Nous devons faire un plaidoyer pour qu’il y ait plus d’investissements en faveur des enfants. Un pays qui se veut émergent, prospère, c’est plutôt dans la façon dont il s’occupe de ses citoyens, du développement de ses enfants », a indiqué Dr Aboubacar Kampo. Il a ensuite insisté sur la scolarisation de la jeune fille qui constitue un challenge cette année pour l’Unicef. « La femme est le pilier de la famille, du foyer. La femme est un moteur de développement, surtout dans le secteur informel. Une femme lettrée sera beaucoup plus efficace dans le secteur informel et au niveau de l’éducation des enfants. Plus les femmes savent lire, plus le pays va facilement se développer », a conclu le représentant résident.
Après la présentation du programme de l’Unicef, une formation sur l’u-report a été faite à l’endroit des journalistes. Il s’agit d’un sondage d’opinion hebdomadaire réalisé avec des volontaires enregistrés, de façon anonyme, sur une plateforme. Ces résultats sont transmis aux membres de la plateforme, mais aussi ils sont disponibles sur le site internet de lUnicef. Des canaux sont en exploration pour que le grand public puisse y avoir accès. Cela a pour objectif de faire ressortir certaines imperfections de la société, tout en proposant des solutions aux décideurs politiques et administratifs. A en croire Ayé Ange, administrateur en communication et relations publiques à l’Unicef, cette plateforme participative, d’information et de formation a lancé ces activités en Côte d’Ivoire en novembre dernier.
Herman Bléoué
Cet engagement de l’Unicef est fait, comme le slogan l’indique, “pour chaque enfant“. En effet, selon les données de l’Unicef, 50% de la population ivoirienne a moins de 20 ans. 46% vit sous le seuil de la pauvreté et un enfant sur 10 meurt avant l’âge de 5 ans. « La plus grande richesse de ce pays, c’est l’homme. Nous devons faire un plaidoyer pour qu’il y ait plus d’investissements en faveur des enfants. Un pays qui se veut émergent, prospère, c’est plutôt dans la façon dont il s’occupe de ses citoyens, du développement de ses enfants », a indiqué Dr Aboubacar Kampo. Il a ensuite insisté sur la scolarisation de la jeune fille qui constitue un challenge cette année pour l’Unicef. « La femme est le pilier de la famille, du foyer. La femme est un moteur de développement, surtout dans le secteur informel. Une femme lettrée sera beaucoup plus efficace dans le secteur informel et au niveau de l’éducation des enfants. Plus les femmes savent lire, plus le pays va facilement se développer », a conclu le représentant résident.
Après la présentation du programme de l’Unicef, une formation sur l’u-report a été faite à l’endroit des journalistes. Il s’agit d’un sondage d’opinion hebdomadaire réalisé avec des volontaires enregistrés, de façon anonyme, sur une plateforme. Ces résultats sont transmis aux membres de la plateforme, mais aussi ils sont disponibles sur le site internet de lUnicef. Des canaux sont en exploration pour que le grand public puisse y avoir accès. Cela a pour objectif de faire ressortir certaines imperfections de la société, tout en proposant des solutions aux décideurs politiques et administratifs. A en croire Ayé Ange, administrateur en communication et relations publiques à l’Unicef, cette plateforme participative, d’information et de formation a lancé ces activités en Côte d’Ivoire en novembre dernier.
Herman Bléoué