Le 25 avril 2017 sera inauguré le siège de l’organisation internationale du cacao à Abidjan. La délocalisation du siège de l’ICCO en Côte d’Ivoire, premier pays producteur mondial de cacao, après 44 années au Royaume-Uni est un enjeu stratégique, révèle un communiqué de l’institution dont nous avons reçue copie.
« Le transfert vers la Côte d'Ivoire, pays producteur, marque une étape décisive dans la vie de l’ICCO. C'est l'occasion pour l'institution de consolider ses acquis et de déployer depuis Abidjan le haut niveau d'expertise qui est le sien, pour mieux satisfaire les attentes de tous les acteurs, en particulier les petits producteurs », indique le communiqué. Cela répond également au souci de l’institution « de se rapprocher des réalités des producteurs de cacao, afin de leur apporter son expertise dans l’analyse et la résolution des problèmes auxquels ils sont confrontés » dixit le communiqué.
L’ICCO, selon le document, a pour mission «de réguler et d'améliorer le fonctionnement de la filière cacao dans le monde, ce dans le respect des accords internationaux successifs conclus par les états membres. L'organisme, par le biais d'initiatives et de programmes qui engagent les différents acteurs de la chaîne de valeur, œuvre en faveur d'une économie cacaoyère durable tenant compte des aspects sociaux, économiques et environnementaux ».
Créée sous les auspices des nations-unies, et basée au Royaume-Uni depuis 1973, cette organisation composée de 51 pays membres dont 21 exportateurs et 30 importateurs a une expertise qui porte sur plusieurs domaines. Il s’agit entre autres, de l’assistance technique aux pays membres dans la définition et la mise en œuvre de stratégies de renforcement de capacités, la gestion de projets, les études économiques du secteur du cacao dans le monde. Aussi, la collecte, l’analyse et la diffusion de données statistiques se traduit-elle par la publication d’un bulletin trimestriel de statistiques, la publication d'un annuaire mondial sur le cacao et la revue mensuelle du marché du cacao.
L’institution organise également des cadres de concertation et d’échanges sur l’or brun à travers des conférences mondiales sur le cacao (WCC), de même que l’organisation de séminaires et ateliers de formation des acteurs de la filière cacao dans le monde.
EF
« Le transfert vers la Côte d'Ivoire, pays producteur, marque une étape décisive dans la vie de l’ICCO. C'est l'occasion pour l'institution de consolider ses acquis et de déployer depuis Abidjan le haut niveau d'expertise qui est le sien, pour mieux satisfaire les attentes de tous les acteurs, en particulier les petits producteurs », indique le communiqué. Cela répond également au souci de l’institution « de se rapprocher des réalités des producteurs de cacao, afin de leur apporter son expertise dans l’analyse et la résolution des problèmes auxquels ils sont confrontés » dixit le communiqué.
L’ICCO, selon le document, a pour mission «de réguler et d'améliorer le fonctionnement de la filière cacao dans le monde, ce dans le respect des accords internationaux successifs conclus par les états membres. L'organisme, par le biais d'initiatives et de programmes qui engagent les différents acteurs de la chaîne de valeur, œuvre en faveur d'une économie cacaoyère durable tenant compte des aspects sociaux, économiques et environnementaux ».
Créée sous les auspices des nations-unies, et basée au Royaume-Uni depuis 1973, cette organisation composée de 51 pays membres dont 21 exportateurs et 30 importateurs a une expertise qui porte sur plusieurs domaines. Il s’agit entre autres, de l’assistance technique aux pays membres dans la définition et la mise en œuvre de stratégies de renforcement de capacités, la gestion de projets, les études économiques du secteur du cacao dans le monde. Aussi, la collecte, l’analyse et la diffusion de données statistiques se traduit-elle par la publication d’un bulletin trimestriel de statistiques, la publication d'un annuaire mondial sur le cacao et la revue mensuelle du marché du cacao.
L’institution organise également des cadres de concertation et d’échanges sur l’or brun à travers des conférences mondiales sur le cacao (WCC), de même que l’organisation de séminaires et ateliers de formation des acteurs de la filière cacao dans le monde.
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