Korhogo – Le Centre Suisse de recherche scientifique en Côte d’Ivoire (CSRS) et l’Ong Action rurale Korhogo (ARK) ont offert, jeudi, à Korhogo, du matériel de nettoiement à trois groupements de pré-collecteurs d’ordures ménagères.
Il s’agit notamment de trois tricycles et de divers matériels nécessaires au ramassage d’ordures tels râteaux, pelles, cache-nez, gants, etc. Ce don a eu lieu à l’issue d’un atelier de restitution d’une étude sur la vulnérabilité et la résilience au paludisme et aux bilharzioses dans la ville.
L’assainissement du cadre de vie figurait au nombre des stratégies communautaires préconisées par cette étude pour réduire la vulnérabilité au paludisme et à contrario, améliorer la résilience à cette maladie.
Durant les trois années qu’elle a duré, l’ARK, son partenaire du CSRS a mené plusieurs actions de formations et de sensibilisations à l’attention des structures sanitaires, des professionnels de l’hygiène et de la salubrité ainsi que de la population sur les méthodes de prévention et de lutte contre le paludisme à Korhogo.
La ville présente une endémie à cette maladie qui varie de 17% en saison de pluie à 7% en saison sèche, indique-t-on.
(AIP)
kaem/fmo
Il s’agit notamment de trois tricycles et de divers matériels nécessaires au ramassage d’ordures tels râteaux, pelles, cache-nez, gants, etc. Ce don a eu lieu à l’issue d’un atelier de restitution d’une étude sur la vulnérabilité et la résilience au paludisme et aux bilharzioses dans la ville.
L’assainissement du cadre de vie figurait au nombre des stratégies communautaires préconisées par cette étude pour réduire la vulnérabilité au paludisme et à contrario, améliorer la résilience à cette maladie.
Durant les trois années qu’elle a duré, l’ARK, son partenaire du CSRS a mené plusieurs actions de formations et de sensibilisations à l’attention des structures sanitaires, des professionnels de l’hygiène et de la salubrité ainsi que de la population sur les méthodes de prévention et de lutte contre le paludisme à Korhogo.
La ville présente une endémie à cette maladie qui varie de 17% en saison de pluie à 7% en saison sèche, indique-t-on.
(AIP)
kaem/fmo