San Pedro -Des commerçants, voisins d’une grande usine de cacao, ce sont réunis jeudi, pour exprimer leur ras-le-bol de voir leurs commerces mis en danger par les longues files de camions de cacao stationnés au quartier Séwéké, le long du principal boulevard de la ville, barrant ainsi la devanture de leurs magasins depuis le démarrage la grande campagne de cacao.
Depuis six mois, expliquent les commerçants en colère, des camions venus livrer le cacao à l’usine SACO se succèdent et mettent une semaine ou deux pour certains, voir un mois pour d’autres, avant de décharger. Selon eux, la situation est la même au cours de la présente petite traite, alors qu’ils avaient cru avoir fini avec cette galère à la fin de la grande campagne au mois de mars.
«Tout ce temps, nos commerces ne sont plus visibles et nos chiffres d’affaires ont chuté d’au moins 80%, alors que nous payons nos taxes et avons des employés à payer», a dénoncé l’un des porte-parole des commerçants, Koffi Kouamé Blaise, propriétaire d’un magasin de chaussures.
Une cinquantaine de commerçants, concernée par cette situation, signent actuellement une pétition pour la déposer à la mairie et à la préfecture de région, afin d’interpeller les autorités administratives pour trouver une solution urgente.
(AIP)
jmk/fmo
Depuis six mois, expliquent les commerçants en colère, des camions venus livrer le cacao à l’usine SACO se succèdent et mettent une semaine ou deux pour certains, voir un mois pour d’autres, avant de décharger. Selon eux, la situation est la même au cours de la présente petite traite, alors qu’ils avaient cru avoir fini avec cette galère à la fin de la grande campagne au mois de mars.
«Tout ce temps, nos commerces ne sont plus visibles et nos chiffres d’affaires ont chuté d’au moins 80%, alors que nous payons nos taxes et avons des employés à payer», a dénoncé l’un des porte-parole des commerçants, Koffi Kouamé Blaise, propriétaire d’un magasin de chaussures.
Une cinquantaine de commerçants, concernée par cette situation, signent actuellement une pétition pour la déposer à la mairie et à la préfecture de région, afin d’interpeller les autorités administratives pour trouver une solution urgente.
(AIP)
jmk/fmo