Aboisso - Un atelier de renforcement des capacités des points focaux des départements d’Aboisso et de Tiapoum (Sud-Comoé) du Haut commissariat pour les réfugiés (HCR) et du Service d’aide et d’assistance aux réfugiés et apatrides (SAARA) veut lutter contre l’apatridie dans ces régions, a constaté l'AIP sur place.
Cet atelier qui s'est ténu vendredi, veut répondre avec efficacité à ce problème social, indique-t-on. Pour les administrateurs du HCR, Djaha Konan Francis et Layse Farias, qui sont intervenus , le nombre d'apatrides en Côte d’Ivoire s'élève à 700 000 personnes.
" Les vastes opérations d’audiences foraines et d’acquisition de la nationalité par déclaration n’ont permis qu’à quelques 50 000 personnes sans nationalité de se faire établir un acte de naissance", ont-ils indiqué.
La nationalité conférant à une personne des droits, dont le droit à la santé, à l’éducation et à une identité juridique, il urge " de faire de la déclaration de la naissance, un moyen efficace de la lutte contre l’apatridie", ont-t-ils déclaré.
Le sous préfet de Noé, des responsables d’Ong des départements d’Aboisso et Tiapoum, des agents du ministère de la Santé et de l'hygiène publique, des centres sociaux et des leaders communautaires, entre autres, ont pris part, à cet atelier.
cb/ti/nmfa/fmo
Cet atelier qui s'est ténu vendredi, veut répondre avec efficacité à ce problème social, indique-t-on. Pour les administrateurs du HCR, Djaha Konan Francis et Layse Farias, qui sont intervenus , le nombre d'apatrides en Côte d’Ivoire s'élève à 700 000 personnes.
" Les vastes opérations d’audiences foraines et d’acquisition de la nationalité par déclaration n’ont permis qu’à quelques 50 000 personnes sans nationalité de se faire établir un acte de naissance", ont-ils indiqué.
La nationalité conférant à une personne des droits, dont le droit à la santé, à l’éducation et à une identité juridique, il urge " de faire de la déclaration de la naissance, un moyen efficace de la lutte contre l’apatridie", ont-t-ils déclaré.
Le sous préfet de Noé, des responsables d’Ong des départements d’Aboisso et Tiapoum, des agents du ministère de la Santé et de l'hygiène publique, des centres sociaux et des leaders communautaires, entre autres, ont pris part, à cet atelier.
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