La justice ivoirienne a accordé le 4 mai la « liberté provisoire » à cette responsable des femmes du Front populaire ivoirien (FPI), le parti de l’ex-président Laurent Gbagbo, incarcérée depuis août 2016 à Abidjan pour « atteinte à la sûreté de l’État », a annoncé son avocat.
« Mme Antoinette Rouissa Meho, 60 ans, a bénéficié d’une mise en liberté provisoire ordonnée par la chambre d’accusation de la Cour d’appel » a affirmé à l’AFP son avocat, Me Toussaint Dako.
« Nous sommes heureux que Mme Meho, inculpée d’atteinte à la sûreté de l’État, vol d’armes et de munitions, participation à une bande armée et détenue sans jugement depuis près de dix mois, ait été libérée » a-t-il souligné, déplorant des « accusations grossières... suite de l'article sur Jeune Afrique
« Mme Antoinette Rouissa Meho, 60 ans, a bénéficié d’une mise en liberté provisoire ordonnée par la chambre d’accusation de la Cour d’appel » a affirmé à l’AFP son avocat, Me Toussaint Dako.
« Nous sommes heureux que Mme Meho, inculpée d’atteinte à la sûreté de l’État, vol d’armes et de munitions, participation à une bande armée et détenue sans jugement depuis près de dix mois, ait été libérée » a-t-il souligné, déplorant des « accusations grossières... suite de l'article sur Jeune Afrique